Alexis Verdana [Reporter]

Nom: Verdana

Prénom: Alexis

Surnom: Dans sa courte vie qui ne fait que commencer, Alexis a reçu pas mal de surnom, la plupart issus de sa présence dans le milieu des immigrés italiens. Les deux plus utilisés sont sans nul doute "Bambino sporco" littéralement sale gosse, et "Ingegneria fumatore" , le génie fumeur.

Date de naissance: 18/11/1897

Âge: 23 ans

Sexe: (Énorme ça compte? ^^) Homme

Ville de naissance:
Né à New York, et plus précisément à Little Italy

Famille:
Alexis est l'unique fils d'Antonio Verdana et de Mary Lloyd. Son père était un honnête boucher italien et sa mère une américaine pure souche. D'ailleurs Alexis tient plus de sa mère que de son père.

Profession :
Alexis et un reporter, et pas qu'un peu. Il semble qu'il soit fait pour ce métier puisqu'il est fin psychologue et a le goût du risque.

Armes:
Si Alexis porte toujours une arme sur lui tel un couteau ou un flingue, il ne s'en sert, pour ainsi dire jamais. Et c'est tant mieux.

Caractère:
Croyez-moi, si Alexis a hérité du titre de sale gosse, même à 23 ans, c'est bien pour quelque chose. Il est égoïste, ronchon, rancunier, vantard et coléreux et de plus très infantile. Mais ce n'est pas pour autant que ce gamin de 23 ans est insupportable. C'est un bon confident qui sait se taire lorsqu'il le faut, avec quelques côtés "je défends la veuve et l'orphelin". Il n'en reste pas moins que ce jeune reporter est un fin psychologue qui connaît tous les moyens de vous tirer les vers du nez. Il est fin, mordant et a le sens de la répartie aiguisé, ce qui lui apporte facilement des ennuis. Croyez-moi, s'il on l'appelle le génie fumeur, ce n'est pas pur rien non plus...

Physique:
Si certes à première vue le physique d'Alexis n'a rien d'extraordinaire, il affiche pourtant une présence incroyable. En effet, malgré son corps tout à fait banal, il possède un visage a en faire pâlir plus d'un.
Des cheveux d'un noir de jais aux reflets légèrement violacés, une cigarette colée aux lèvres et des yeux d'un bleu sombres au regard si profond qu'il semble lire en celui qu'il regarde comme dans un livre ouvert, tout ceci contribue à lui donner un charisme particulier, encore renforcé par sa voix mélodieuse et son ton posé.

Histoire:
Alexis Verdana est né à Little Italy, le quartier italien de N.Y. Son père boucher de profession, voulait que plus tard il reprenne le commerce. La réponse fut à chaque fois le même mot de trois lettres à la consonance sèche.
Enfant précoce, il ne s'intéressait à rien et il était seul, incompris par tous les enfants de son âge. Il avait un oncle qu'il appréciait particulièrement. Celui-ci passait tout son temps à le railler et à le rabaisser, mais bizarrement le jeune garçon semblait heureux.

C'est au collège que sa vie commença à prendre un tournant étrange. Il était encore seul, mais cela changea vite. Il se fit des amis, devint bien plus ouvert. Avec des amis, ils rapinaient dans les commerces, ils allaient embêter le chien de la voisine, une vieille sorcière qui détestait tout ce qui pouvait être drôle en ce monde... Et de plus en plus il s'intéressa au métier de policier. Son oncle lui fit vite changer d'avis. Il lui avait dit:
" Mon garçon, t'as peut-être les qualités qu'il faut pour devenir policier mais tu le feras jamais, t'en a trop de ces qualités là, ça s'rait du gâchis. Deviens journaliste plutôt, c'est autrement plus drôle, crois-moi"

Et c'est ce qu'il fit, après avoir suivi des cours dans une école de journalisme, il commença à travailler pour le journal en tant que reporteur. Il était chargé de trouver tout ce qui n'allait pas dans le coin et de le dénoncer.
Il adorait, et même plus. C'est donc facilement qu'il se tailla sa place dans cette communauté italienne. C'est aussi à ce moment qu'il commença à fumer.

Un peu plus tard, à ses 22 ans, son père mourut dans un accident de voiture causé par un chauffeur ivre. Il mena alors son enquête qui le mena jusqu'au trafiquants de la ville de Kanst. Ou il s'installa. Durant l'année ou il vécut ici, il oublia petit à petit son père pour se consacrer pleinement à la rédaction d'articles tous plus palpitants les uns que les autres.

[Début de son histoire avec le sujet: Sur un banc]