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 Antoine Pastor [Membres des Forces de l'Ordre]

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2 participants
AuteurMessage
Antoine Pastor
Membres des
Forces de l'Ordre

Antoine Pastor


Nombre de messages : 11
Age : 122
Surnom : Kitten - Chérubin
Date d'inscription : 15/10/2006

Antoine Pastor [Membres des Forces de l'Ordre] Empty
MessageSujet: Antoine Pastor [Membres des Forces de l'Ordre]   Antoine Pastor [Membres des Forces de l'Ordre] EmptyDim 15 Oct - 20:41

Nom :
- Pastor.

Prénom :
- Antoine.

Surnoms :
- Chérubin, à cause de son air un peu juvénile.
- Kitten, car ses gestes évoquent souvent ceux d’un chat.

Date de naissance :
- 12 septembre 1890.

Âge :
- Trente ans.

Sexe :
- Homme.

Ville de naissance :
- Bastia, en Corse.

Famille :
- Un beau-père et une mère, Erich Hochpick et Délia Pastor, avec lesquels il correspond et à qui il envoie de l’argent.
- Cinq frères cadets, répartis dans toute l’Europe.

Rang :
Antoine est inspecteur de police à Kanst, et s’occupe plus particulièrement des interrogatoires dont il s’est fait une spécialité.

Armes :
- Son arme de service, un Luger P08.
- Un couteau à cran d’arrêt apporté de sa Corse natale.

Caractère :
- Antoine a toujours des manières très douces, très calmes, et, quand il parle de sa voix douce, un peu chantante, avec un léger accent français, il n’a jamais un mot plus haut que l’autre. Il est un peu timide et un peu gauche, parfois bafouillant, en tout cas plutôt puéril en apparence. Il a, de plus, un air un peu hautain, sans mépris ni ostentation, que lui donnent ses façons distinguées, son inaptitude à l’argot, et son goût immodéré pour l’imparfait du subjonctif. Il est dévoué et attentif aux sentiments des autres, en exprimant assez rarement les siens, et est souvent prêt à se sacrifier pour ce qu’il croit juste. Il est plutôt timide, parle peu, rougit facilement, ce qui lui attire souvent des quolibets sur son attitude de « Jeune fille ». Avec les gens qu’il apprécie, il est la gentillesse incarnée, et garde toujours un fond de sympathie même pour ceux qui devraient lui être déplaisants. Cette apparente douceur cache deux sentiments contradictoires en lui, sa mélancolie et sa tristesse, et sa volonté de fer, propre à accomplir les vendettas de ses aïeux.

- Ce deuxième penchant se révèle en lui durant d’effroyables crises de colère intérieure, pendant lesquelles il reste impassible, mais qui peuvent le pousser aux agissements les plus extrêmes. Cette rage sourde, froide, calculatrice, se manifeste par un changement soudain de son attitude. Ce qu’il perd en maladresse, en timidité et en douceur, Antoine le gagne alors en force, en impassibilité.

- Antoine a aussi un don pour les interrogatoires de police. On ne connaît rien de ses méthodes, mis à part qu’il exige le silence et la solitude complète. Au bout de quelques minutes d’entretien avec eux, il arrive à arracher aux criminels les plus endurcis des aveux complets, qu’il typographie lui-même, avec une précision sans égale. Cependant, de chacun de ces interrogatoires, il sort plus mort que vif, son visage enfantin vieilli de trente ans, neurasthénique, et il doit laisser passer plusieurs jours avant de reprendre la vie normale. Ces excentricités et ce talent incroyable ont étendu sa réputation à toute la police de Kanst, à laquelle il est très sympathique. On l’appelle souvent pour des affaires difficiles d’un bout de la ville à l’autre.

Description Physique :
- Antoine est vraiment joli garçon, au point d’exercer parfois une certaine fascination sur les gens qui l’entourent, dont il tire habilement parti. Il a un visage très pâle, aux traits doux, d’une beauté un peu orientale, indéfinissable, dans lequel deux yeux d’un gris métallique, aux reflets verts, brillent. Il porte des cheveux mi-longs, d’un blond cendré, très pâles, qui retombent en boucles légères, translucides, devant sa figure. Il paraît beaucoup plus jeune qu’il n’est réellement, on lui donne souvent moins de vingt ans. Il est de taille moyenne, et son corps est étonnamment souple pour un adulte, ce qui lui donne une démarche assez gracieuse, à la façon d’un chat, avec un léger déhanchement. Quelques années de service dans la police et dans l’armée ont musclé son corps, qui sans l’être excessivement, n’est pas non plus efflanqué. [Smile] Il porte à l’endroit du foie et le long du biceps deux cicatrices de baïonnette.

- Son habillement est plutôt simple et classique, et ne se distingue que par ses chandails délavés, de couleur pastel, et trop grands pour lui, qu’il arbore en permanence, et par ses longs foulards orientaux, dons de certains de ses protégés dans les quartiers indiens et chinois de Kanst. Contrairement à la mode de l’époque, Antoine ne porte jamais de chapeau et se promène en permanence tête nue, il est d’ailleurs hostile à toute forme de képi ou d’uniforme de police.

- Ses gestes sont, du fait de sa timidité, la plupart du temps assez maladroit, mais, particulièrement en mission, ils peuvent être très précis. Ils sont en tous cas toujours doux, amortis, sans à-coups.

Histoire :
- Né à Bastia en 1890, Antoine, très tôt, doit constater l’absence de son père, militaire de carrière, qui était parti s’engager dans les armées anglaises d’Inde, et qui n’était jamais revenu. Il est laissé donc à la seule éducation, avec ses cinq frères cadets, de sa mère, Délia Pastor, une ancienne aristocrate déchue, sèche et autoritaire. Il a dès lors une grande admiration pour ce père qu’il n’a jamais connu, et qu’il idéalise en héros guerrier, alors qu’il n’est en fait qu’un déserteur de peu d’envergure.
Le remariage de sa mère avec le commandant prussien Hochpick, la stricte discipline à laquelle il se trouve soudain soumis, les vexations du collège alimentent sa révolte contre ce milieu contraignant, strict, dans lequel il vit, encore renforcée par la responsabilité de ses jeunes frères qu’il porte en permanence.

- Il est soumis à une éducation classique, assez martiale, qui a pour but avoué de faire de lui à terme un officier dans l’armée française. Mais le jeune Antoine, doux, affectueux, privé de tendresse, rejette en bloc ce but qui lui semble stupide. Il se réfugie rapidement dans des interminables fugues, où il court des mois dans le maquis Corse, et dans la lecture. Il dévore avec avidité poésie, romans, théâtre, tout ce qui peut lui permettre de s’évader de la vie monotone de sa maison. Rapidement, il en vient à prendre en haine son beau-père, cet étranger autoritaire, tellement différent de l’image qu’il se fait de son vrai père. Il fomente plusieurs fois des tentatives d’assassinat du prussien qu’il n’a jamais le courage d’exécuter mais qui lui donnent le goût de la vendetta, qu’il gardera tout au long de sa vie.

- Cependant, il se révèle un élève doué, qui satisfait les attentes de ses parents, et on l’envoie à seize ans à Paris dans un lycée militaire pour officiers. Là, il fugue de plus belle, et passe le plus clair de son temps entre les rues de la capitale où, tout jeune, il flâne parmi les coupe-jarret et les crapules, et le lycée où il est à la fois battues pour ses frasques, admiré par ses camarades pour son extraordinaire culot, et apprécié de ses professeurs. Il entretient alors une grande correspondance avec sa famille, qu’il se prend à regretter. Il réalise, en mûrissant, l’inanité de sa haine pour son entourage d’origine, et l’affection vraie qu’il lui porte. Durant cette période, son beau-père se révèle d’un grand secours, en renflouant le jeune homme toujours à court d’argent. Il finit par sortir de ses études, major de sa promotion, lieutenant dans l’armée française en 1914.

- Par une coïncidence tragique, l’année de sa prise de commandement correspond donc avec le début de la guerre. Il est envoyé au front de Champagne en 1915, et est projeté directement de sa vie parisienne à l’enfer des tranchées, de la peur, de la boue, de la mort, des armes nouvelles et destructrices, qui le marquent à vie. Blessé au côté et au bras durant l’une des premières offensives, il est renvoyé vers l’arrière, où, remis de ses blessures, il déserte allégrement. A plusieurs reprises, il manque d’être rattrapé et fusillé, mais il échappe finalement à toute poursuite et part à bord d’un cargo américain en escale au Havre. Celui-ci, après une traversée éprouvante, accoste bientôt à Kanst. Là, fraîchement débarqué, faisant abstraction de tout son passé, il va s’engager comme policier, et est promu inspecteur au bout de deux ans de bons et loyaux services. Une vie nouvelle a donc commencé pour lui, qu’il espère être plus clémente que la précédente...

[Début de son histoire avec le sujet: Promenade Hivernale...]


Dernière édition par le Lun 16 Oct - 17:04, édité 1 fois
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Amanda Tiwold
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Amanda Tiwold


Nombre de messages : 253
Surnom : Amy
Date d'inscription : 15/02/2006

Antoine Pastor [Membres des Forces de l'Ordre] Empty
MessageSujet: Re: Antoine Pastor [Membres des Forces de l'Ordre]   Antoine Pastor [Membres des Forces de l'Ordre] EmptyLun 16 Oct - 17:40

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