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 Johanna Miller [Tueuse]

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2 participants
AuteurMessage
Johanna Miller
Membre du gang Caldes
Johanna Miller


Nombre de messages : 13
Age : 33
Surnom : Jo, the Bullet
Date d'inscription : 11/08/2006

Johanna Miller [Tueuse] Empty
MessageSujet: Johanna Miller [Tueuse]   Johanna Miller [Tueuse] EmptyVen 25 Aoû - 17:43

    Nom: Miller

    Prénom: Johanna

    Surnom: Jo (comme diminutif de son prénom) ou The Bullet, relatif au fait qu'elle descend ses victimes d'une seule balle entre les deux yeux.

    Date de naissance: 18 août 1896

    Âge: 24 ans

    Sexe: Féminin

    Ville de naissance: Boise, Idaho, USA.

    Famille: Un père et une sœur, vivant à Boise, dans l'Idaho.

    Rang:
    Tueuse au service des Caldes, elle descend tous ceux qu'on lui demande de tuer d'une seule balle.

    Armes:
    Un Colt M1911 (calibre .45 ACP), dont la crosse est ornée de ses initiales ; et un couteau à cran d'arrêt mesurant 15 centimètres, gravé des initiales «L.P.» comme «Liam Pers», une de ses victimes.


Caractère:
Le moins que l'on puisse dire de Johanna, c'est qu'elle est extrêmement lunatique. Ses changements d'humeurs sont soudains et très violents. Il ne faut pas l'agacer à la légère. Lorsqu'elle est en colère, son tempérament est orageux et elle est irascible à l'excès. Jo cache ses sentiments "positifs" pourrait-on dire.
Son amitié, son affection, sa gentillesse sont cachées aux autres sous un masque de froideur et d'indifférence. Elle voue une affection étrange au plus jeune fils des Caldes, se montrant plus froide et détachée avec lui qu'avec les autres, mais l'observe toujours en cachette. Elle fait preuve d'une jalousie exacerbée, ne pouvant s'empêcher de détester toutes celles qui s'approchent un peu trop près d'Elliot.
Lors de ses contrats (lorsqu'elle doit tuer quelqu'un), elle se montre d'un détachement presque inhumain, et agit comme une machine, réglant ses gestes au mieux. Elle semble alors créée pour tuer, impitoyable et insensible.

Physique:
La première chose que l'on remarque chez Jo, ce sont ses yeux. Le plus souvent maquillés à l'outrance, ils captivent par leur iris marron très clair, tirant sur le jaune. Le reste de son visage n'est pas franchement exceptionnel, juste bien dessiné et aux traits fins. Sa bouche est petite et aux lèvres pulpeuses, son nez droit et fin, ses sourcils fins et arqués, ses joues blanches et sa peau lisse.
Elle porte ses cheveux longs, attachés en un chignon lâche sur sa nuque, coiffés la raie sur le côté, et tombant sur son œil droit. Ils dissimulent une cicatrice, au-dessus de son sourcil droit, faite par le couteau de Liam Pers. Longue de deux centimètres, elle se remarque par sa couleur rouge sang.
Johanna mesure 1m70, ce qui est plutôt grand pour l'époque, et est une jeune femme fine, presque diaphane. Toute ses articulations sont extrêmement fines, comme ses poignets, ses chevilles, ses épaules ; de même que ses membres. Elle paraît fragile extérieurement, mais le simple fait de voir l'assurance avec laquelle elle empoigne son Colt suffit à comprendre que «l'habit ne fait pas le moine».
Pour ce qui est de ses formes, elles sont presque inexistantes mais pourtant féminines. Jo n'est pas une «planche à pain», et malgré une poitrine menue, elle garde un charme féminin. Toujours vêtue presque entièrement de noir, elle est le plus souvent habillée d'une robe moulante s'arrêtant au-dessus du genou, à corsage échancré, manches longues, escarpins et long châle rouge sang. Lors de ses contrats, elle préfère souvent à ses escarpins, des chaussures à semelles plates, et n'empoigne jamais son Colt sans ses gants de cuir.

Histoire:
Johanna Miller est née le 18 août 1896, à l'hôpital public de Boise, dans l'Idaho. Sa famille, composée de son père, professeur au collège de la ville, sa mère, gérante d'une petite boutique de cosmétiques, et sa sœur, âgée de 5 ans de plus qu'elle ; était assez aisée. La petite Johanna manifesta dès son plus jeune âge un tempérament explosif, hurlant de tous ses poumons dès la moindre contrariété. En compensation, lors de ses moments de bonne humeur, elle était adorable et gentille.
À l'âge de 6 ans, elle entra à l'école de Boise, pour y apprendre — principalement — à lire et à écrire. Jo ne montra aucune aptitude particulière à l'école, étant une élève moyenne, ne faisant que le strict minimum. Elle ne redoubla jamais, passant dans la classe supérieure la plupart du temps de justesse, et resta une petite fille capricieuse jusqu'à ses 14 ans.
En 1910, la mort accidentelle de sa mère la fit se renfermer sur elle-même, cachant tous ses bons côtés et ne montrant plus qu'un visage déformé le plus souvent par la colère, et le reste du temps, caché derrière un masque de froideur. Elle développa parallèlement une passion pour les armes à feu, ayant prit conscience de la fragilité d'une vie humaine avec le décès de sa mère. Celle-ci était morte d'une balle perdue alors qu'elle sortait de sa boutique.
Johanna mit à profit la découverte d'un ancien club de tir dans l'un des quartiers les plus déserts de sa ville. Durant deux ans, elle s'y rendit tous les soirs après l'école, prétextant auprès de son père une visite chez une amie.
Lorsqu'elle eut 16 ans, elle utilisa l’argent de ses économies pour s’acheter par correspondance un Colt M1911, sortit un an auparavant. Elle utilisa le nom et la signature de son père.
Au lycée, Johanna commença à se montrer plus laxiste vis-à-vis de ses études, séchant quelques cours pour aller vider son chargeur sur les cibles en carton du club de tir abandonné. À cette époque, elle rencontra Jake.

Une balle au milieu de la cible. Une autre. Comme si elle évacuait la tension qui raidissait son dos, la jeune fille appuyait sur la détente de son Colt avec un sourire bienheureux. La lumière de la lampe à huile qu'elle avait apporté projetait des ombres étranges sur son visage. Son chargeur vidé, elle posa son arme sur le comptoir devant elle, sortit 7 balles de la poche de son veston et les déposa une à une à côté du pistolet. Les faisant rouler lentement entre ses doigts, elle les replaça dans le chargeur de son Colt, déposa sa main sur la crosse de l'arme et, l'empoignant fermement, se remit en position pour tirer.
« Tu ne te débrouilles pas si mal... »
La voix avait retenti derrière elle, moqueuse et ironique. Jo plissa les yeux, le doigt sur la détente. Une balle sortit du canon de l'arme et fila vers la cible, se fichant à deux centimètres du centre de la cible. Furieuse contre elle-même et contre l'importun qui l'avait dérangée, elle posa rageusement son Colt sur le comptoir et se retourna. Personne. Fronçant les sourcils, elle replaça nerveusement une mèche de cheveux derrière son oreille et fouilla la pénombre de la pièce du regard. Il était assis au comptoir, sur l'un des tabourets au cuir élimé et déchiré. Ses cheveux châtains tombaient sur ses épaules en mèches éparses et voilaient par endroits l'éclat de ses yeux vert d'eau. Un sourire amusé était collé sur ses lèvres, alors qu'il tapotait du bout des doigts sur le vernis écaillé du comptoir, les yeux rivés sur Johanna. Celle-ci grogna peu poliment, et l'apostropha.
« On se connaît? »
Le sourire du jeune homme s'élargit. Il répondit suavement.
« Je ne demande que ça... »
Jo bouillonnait intérieurement. Le ton de l'inconnu l'irritait au plus haut point, de même que son sourire idiot, ses cheveux trop longs et ses yeux si clairs qu'elle n'arrivait pas à s'en détacher. Elle empoigna violemment son arme et désenclencha la sûreté. Partagée entre sa fureur et la contemplation du si beau visage du garçon, elle passait nerveusement son index contre la détente de l'arme, le poignet appuyé contre le bord du comptoir. Le jeune homme perçut l'éclair de colère qui brillait dans les yeux de Johanna, la rougeur de ses joues et son regard qui ne faisait que le fixer. Il sauta nonchalamment à bas de son tabouret et alla se placer derrière Jo. Celle-ci ferma un moment les yeux tandis que sa main se posait sur celle de Johanna — celle qui tenait le Colt — et ses doigts se joignirent à ceux de la jeune fille. Ils levèrent ensemble leur bras droit, et pressèrent la détente. La balle traversa la cible en son centre.
Le jeune homme se détacha de Jo. Celle-ci se tourna vers lui.
« Je m'appelle Johanna. Mais tu peux m'appeler Jo.
- Moi, c'est Jake. »


Ils se virent durant presque un an. Johanna commença à redevenir comme avant la mort de sa mère, et retrouver le sourire. Jake la quitta alors, comme il quitta Boise et l'Idaho. Sa scolarité obligatoire terminée, Johanna, que cette rupture avait affecté, s'en alla aussi, pour mettre ses talents de tireur au service du plus offrant et pour l'oublier. Pendant deux ans, elle voyagea de part en part des États-Unis, se rendant à Chicago, New York, Los Angeles. Elle accomplit quelques contrats, dont celui de Liam Pers, à Chicago, et réussi à se faire un petit nom parmi la pègre. On commença à la connaître sous le surnom de "The Bullet", la Balle.
En 1917, alors âgée de 21 ans, elle arriva à Kanst. Ce fut lors d'une altercation avec l'un des membres du Clan Tiwold qu'elle fit la connaissance de certains membres du gang opposé, les Caldes.

Il faisait froid ce soir-là. La jeune femme marchait d'un pas rapide le long de la rue sombre, son long manteau battant contre ses jambes. Elle était arrivée quelques heures auparavant, et avait déposé ses affaires dans une petite chambre de l'hôtel Atlantis. Les talons de ses escarpins résonnaient contre le bitume de la rue. Soudain, un homme, passablement éméché, lui fit face. Si ce n'est le fait qu'il eut un verre de trop dans le nez et que ses yeux étaient exorbités, il était assez séduisant. Ses mains s'abattirent sur les bras de Johanna, l'attirant à lui. Surprise, elle trébucha, et tomba dans les bras de l'homme qui vacilla.
« Eh, les gars! J'ai trouvé une putain pour ce soir! »
Apparurent alors deux autres hommes, beaucoup moins saouls que le troisième. Ils affichaient un air ennuyé par le comportement de leur ami, mais se contentèrent de le prier de faire moins de bruit et de lui indiquer qu'ils l'attendraient « chez Dewey ». L'homme ivre secoua la tête vigoureusement de haut en bas puis reposa son regard sur Johanna, complètement abasourdie.
« Je m'occupe de la catin et j'arrive! »
Le fait qu'il l'ait traitée une deuxième fois de prostituée sembla électrocuter Johanna. Elle tenta de se dégager vivement, mais la poigne de l'homme était trop puissante pour sa frêle carrure. Il l'a plaqua contre un mur, s'écrasant contre elle, le visage enfouit dans son décolleté. Il émit quelques grognements, ses mains passées sous le manteau de Johanna, remontant sa robe jusqu'à sa taille. La jeune femme réussit à se saisir de son Colt au moment où d'autres hommes apparaissaient à l'entrée de la rue. Le poivrot s'écarta d'elle et cligna des yeux, essayant de discerner l'identité des nouveaux arrivants. Ceux-ci — au nombre de trois — s'approchèrent.
« Regarde un peu, c'est John Peters avec sa petite amie....»
Ils s'esclaffèrent et commencèrent à converser tranquillement, insultant copieusement ledit John à chacune de leur phrase. Pendant ce temps là, Jo avait sorti son Colt le pointait sur la tempe de Peters. Celui-ci se tourna vers elle, hébété.
« Tu n'appelleras plus jamais Bullet par des mots aussi vulgaires que "catin" ou "putain"... C'est clair? » Siffla-t-elle entre ses dents, la colère étincelant dans ses yeux.
Les trois autres hommes se regardèrent, bouche bée. Bullet... Un tueur à gages qui avait sévit à Chicago, New York et Los Angeles. Ce pourrait-il que cette jeune femme soit...
« Tu ne pourras jamais te vanter d'avoir presque eu Bullet pour compagne d'une nuit... »
Un éclair de meurtre passa dans les yeux de Johanna.
« Car ce soir, tu vas... »
Elle réajusta son pistolet, pour que le canon soit bien entre les deux yeux de Peters.
«... mourir »
Son doigt pressa la détente. Le coup de feu partit, emportant la vie de Peters dont le corps alla s'effondrer au sol. Johanna rempocha son arme et releva la tête vers les trois hommes.
« Johanna Miller, dite The Bullet. Je viens d'arriver à Kanst. Et, vous êtes...? »


C'était trois membres du clan Caldes, qui la présentèrent au patron. Celui-ci, après mûre réflexion, lui proposa un poste. Johanna le pris de bon cœur. Elle sévit à Kanst depuis trois ans en temps que tueuse chez les Caldes.

[Début de son histoire avec le sujet: Appartement de Johanna]


Dernière édition par le Mar 29 Aoû - 13:35, édité 1 fois
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http://oona.ouvaton.org
Amanda Tiwold
Fille du chef
du gang Tiwold

Amanda Tiwold


Nombre de messages : 253
Surnom : Amy
Date d'inscription : 15/02/2006

Johanna Miller [Tueuse] Empty
MessageSujet: Re: Johanna Miller [Tueuse]   Johanna Miller [Tueuse] EmptyMer 30 Aoû - 14:49

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