[La clinique] Le médecin

*Cet homme devrait être médecin. Je me demande ce qu'il a fait ? Bon alors cherchons le!*

Elle rentra dans le bâtiment. Arrivé dans le hall, elle regarda partout autour d'elle. Il n'était pas là. Elle prit alors le couloir devant elle et monta dans les étages.
Arrivé au premier étage, elle fit:

"Mademoiselle!"

Une infirmière s'approchât d'elle.
"Oui?"

"Ou puis je trouver cet homme?"

"A l'étage du dessus, 2ème porte à droite."

"Merci."

"De rien."

Elle prit alors l'escalier arrivé au deuxième étage elle constata que l'homme devait être chirurgien. Elle prit à droite et arriva devant la porte de cette homme. Elle rentra sans frapper. L’homme était assit à son bureau. Elle rentra et ferma la porte. Tout en silence elle s'assit en face de lui.

" Je ne suis pas venu vous voir pour cause de problèmes de santé. Je suis venu ici pour vous faire changer d'avis sur un sujet que vous connaissez. Quelqu’un d'important vous conseille de changer d'avis rapidement. Sinon à mon grand plaisir je serais obligé d'intervenir."

Elle vit sur le bureau une photo de famille.

"Ne vous inquiétez pas je ne vous toucherais pas. Mais eux par contre. Vous avez une petite fille, comme elle est mignonne. Ce serait dommage que le petit chaperon rouge se face manger par le loup. Et ce garçon il n'est pas encore majeur. Je dirais 19 ans. Si jeune. Alors qu'en pensez vous ?"

La première question de l’homme, fut lier à la surprise de cette entrée des plus impolie dans son bureau. Mais pour qui se prenait cette jeune femme.
Et il eut bientôt la réponse à cette question, ainsi que bien d’autres réponses qu’il n’attendait pas forcement.

" Et c’est une jeunette comme vous qu’il m’envoie. Laisser moi rigoler, vous ne feriez même pas peur à une mouche... "

C’est parole était sûre et son image aussi, il avait même un sourire assez amusé sur le visage, mais au fond de lui, il avait un certain doute face à cette histoire, comme lors de ses opérations. Il y avait sûrement quelle que chose sous cette histoire, mais quoi ? Il ne le voyait pas pour le moment...

Elle se sentit insultée et elle sortit son colt droit. Elle prit le risque de baisser son col roulé. L’homme pu voire distinctement son visage remplit de haine, on aurait dit un démon. Elle était sur le bord de sa chaise. Comment cet homme pouvait la prendre pour une moins que rien, jamais personne n’avait osez lui parler sur ce ton surtout après ce qu’elle annonçait. Cet homme, cela il allait le payer même s’il se rangeait du côté de ses employeurs. Pourquoi les hommes sont si bêtes, mettre la vie de sa famille en jeu pour une question d’arrogance. Elle le trouvait ridicule. Puis elle se rappela qu’elle ne devait pas le toucher, car monsieur était trop important.

*Baisse ton colt, baisse ton colt... calme-toi. Cet homme n’en vos pas la penne. Pourquoi j’ai accepté cette condition, stupide. Faire changer d’avis quelqu’un comme lui, sans le toucher. J’en rage.*

Elle finit par baisser son colt et se calma. Son visage c’était détendu. Il redevenait angélique mais son regard transpercer l’homme.

"Vous ne me prenez pas au sérieux, « Quand Dieu se fit homme, le diable s'était déjà fait femme » c’est un de mes préférés, je le trouve plutôt vrais non ? Vous sauvez des vies, moi je les prends, le diable prend toutes les apparences il y en a une autre que j’aime bien l’habit ne fait pas le moine même si vous pouvez constater que niveau tache de sang je suis servi. Bref si vous réfléchissez bien ce qui m'ont envoyé sont intelligents et ils m’ont interdit de vous tuer, pas de chance pour vous c'est votre famille qui va payer. Vous avez l'air si sûr de vous cela me fait rire. Suis-je bête, j'ai oublié de me présenter. Blood, peut-être que cela vous dit rien, pourtant j'ai fait votre fortune en vous envoyant énormément de personne avec une balle dans le torse ou alors disséqué… . Je parle trop, un conseil changer d'avis! Si vous ne le faites pas pour vous, faites-le pour votre famille. Répondez vite et si vous ne prenez pas au sérieux un de vos proche mourra dans d'atroces souffrances."

On pouvait voir se dessiner sur son visage un sourit satisfait. Elle avait croisé les jambes. Mais le mouvement de pied qu'elle faisait montrer qu'elle était pressée d'en terminer. Et qu'elle attendait une coopération rapide de l'homme. Elle regardait tout autour, envisageant l’entré d’une personne dangereuse pour ses affaires. Elle trouva comme seul moyen la fenêtre : deuxième étage. Une corniche pour passer de la fenêtre a une autre. En espérant qu’il y en est une ouverte

Quelle ne fut pas sa surprise, quand il vit qu’elle sortait une arme. Oui, elle avait raison sur un point, ne pas se fier aux apparences. C’était exactement ce que lui avait dit ce policier l’autre jour...

Même si sa nervosité s’était accru par rapport au début, il essayait tant bien que mal de garder une certaine contenance.

" Comme s’il n’y avait que vous qui m’envoyez des personnes au seuil de la mort. "

Puis, plus pour lui-même que pour son interlocutrice.

" Je n’aurais jamais du emménager dans cette ville de fou furieux... "

Ensuite il revint sur la dénommée Blood.

" Changez d’avis... Facile à dire... Ce n’est pas vous qui tenez entre vos mains la décision finale qui fera basculer la balance d‘un côté ou de l‘autre. Je ne peux pas changer, maintenant que j’ai choisi de suivre cette voie, même si parfois je l’ai souvent voulut... Alors tuez-moi, et laisser vivre ma famille en paix. "

Il savait que s’il mourait, ça finirait en sa faveur, même s’il aurait voulu trouver une autre solution, beaucoup moins extrême. Une perle de sueur se mit à couler le long de sa tempe.

"Je croit vous l'avoir déjà dis. J’ai reçu l'ordre de ne pas vous tuez. Je ne peux toucher qu'à votre famille si vous voulez qu'elle reste en vit. Pour votre insolence je prendrais une main d'une personne de votre famille, car je suis aussi médecin mais je ne sais que détruit. Je me doute bien que je ne suis pas la seule mais je trouve que je les arrange bien ça devient même de l’art."

Elle sorti un de ses couteaux et joua avec.

"En effet je n'ai pas de choix à faire, mais moi si j'en ai à faire, je favorise toujours ma vie. Mais ici votre vie n'est pas en danger. Ne pensez pas à vous suicider ça n'arrangerait personne ni moi ni votre famille. Maintenant appelez votre contacte et dites lui que vous changez d'avis."

*Victoire il a peur, vraiment ce n'est qu'une question de seconde. Allez change d'avis. J’ai quand même fait une erreur en lui montrant mon visage. Au pire je le tuerais après quelque mois.*

Elle était bien installée dans son siège mais elle ne voulait pas rester longtemps. Cela ne pouvait pas durer plus longtemps.

*Pourquoi luter face à la mort. Les hommes sont trop bête pour comprendre que le courage ne sert à rien. Il n’y a pas de honte à changer d’avis pour sauver sa famille. Vraiment il devrait se dépêcher. Je n’ai pas que ça à faire. Vive le travaille. Bon je pense que la main de la femme me suffira.*

Il essayait par tous les moyens de ne pas perdre son sang-froid, même si celui-ci s’effrité légèrement petit à petit que la conversation avançait.

" Pourquoi vous ferais-je ce plaisir ? Ils m’avaient bien prévenu que ce ne seraient pas directement à moi qu’on toucherait et j’ai eut du mal à les croire, mais maintenant que vous venez me le dire, c’est qu’ils avaient raison. Et c’est sans doute pourquoi, ils n’ont mit qu’une seule personne pour veiller à ma sécurité, alors qu’ils sont bien plus auprès des membres de ma famille. "

De dire cela était une manière pour lui de se rassurer un minimum sur la situation qu’il devait affronter à ce moment même.

Elle rigola. Elle baissa la tête. Son chapeau cachait son visage. Elle sentait le stresse monter en l’homme. Le faite qui gagne du temps ne changeais rien au final. Cet homme ne pouvait pas tenir aussi longtemps avec cette pression. La joie montait en elle. Comment peut ont être aussi soumis. Cela ne pouvais l’empêcher de sourire.

*Comment dieu a pu créer des êtres physiquement aussi faible. Il est aux limites du tremblement. Je lui donne encore 2mn. Continuons à lui mettre la pression, c’est si drôle. Par contre ce n’est pas mes employeur qui le protège aurait il si peut confiance en moi. C’est ridicule.*

"Voyons ce n'est pas à moi que vous devez faire plaisir mais à mes employeurs. Si j'étais vous je refuserais de retourner ma veste. Car si vous changez d'avis je n'est plus le droit de toucher à votre famille. Et cette idée me rend triste.

Elle marque comme si elle était en deuil. Son sourire disparut tout à coup. Elle était presque entrain de pleurer.

"Bref, mon but et de vous faire changer d'avis. Moi aussi je dois choisir entre l'argent et le plaisir de tuer. Je suis moi aussi face à un dilem que vous êtes le seul à pouvoir résoudre. Plus vous essayé de gagner du temps plus votre famille en perd. Si vous les aimez prenais la bonne décision ou si vous m’apprécier et que vous voulez me faire plaisir ne change pas. Vous avez dit que vous étiez protégé, ou se trouve cette personne? Et prenez ce téléphone et appelez les!!!!"

Elle désigna un téléphone situé sur le bureau.

*C'est un médecin réputé pour avoir un téléphone comme celui-ci dans son bureau. J’ai hâte de voir sa maison!*

Cela ne pouvait plus durer elle avait faim et en prime une envie de se laver. Bref, elle perdait patience et ça se voyait. Quelque minute de plus et elle se lève pour ramener l'homme chez lui et tuer un à un les membres de sa famille devant ses yeux. Pour elle, c'était le plan le plus drôle
..

Il était découragé, mais il ne semblait pas vouloir changer d’avis sur son choix.

" Je ne peux pas... Vraiment pas... "

Il ne savait vraiment plus quoi dire pour se sortir de cette mauvaise passe. Et l’homme qui devait assurer sa sécurité qui ne revenait pas...

Tout ça n’était vraiment pas bon pour son moral, mais il devait encore tenir tête, il ne pouvait vraiment pas changer ses choix, même s’il lui arrivait de les regretter par la suite et dans ce genre de situation malencontreuse.

Il s’en faisait évidemment pour sa famille, mais si elle était seule, sa femme et ses enfants ne devaient pas craindre grand chose quand il se mit à repenser à la sécurité qu’ils avaient installée autour de leur domicile. Ce fut le seul point qui pouvait encore un minimum le rassurer. Malgré que cette femme en face de lui, semblait prête à tout pour arriver à atteindre son but.

"Vous êtes courageux. Alors appelait mon client et dite lui ce que vous venez de me dire. Qui vous rend si sur de vous? Face à moi vous n'avez aucune chance. Ne me faite pas perdre mon temps, cet affrontement ne sert à rien. Je vais gagner de toute façon. C’est si difficile de changer d'avis, vous vous êtes engagé envers la police?"

Elle faisait son maximum pour que cet homme lui lâche des infos sur cette histoire. Mais elle ne pouvait plus tenir sur place. Parler avec un membre de la famille de ces futures victimes cela ne l'intéressé pas.
Voyant que l'homme ne prenait pas le téléphone elle ressortit son pistolet de salon.

*je vais finir pas tous les buter. Si j'ai pas e que je veux je tue tous ceux que je croise.*

"Appelez mon client!je perd patience et c'est mauvais pour votre famille et les gens qui vont croiser mon chemin dans les heures qui viennent!!!!"

*merde un flic, et lui en plus. Je vois qu'il m'a démasqué. Je ne dois pas parler se serai me trahir.*

La joie monté en elle. Elle rêvé d'un affrontement avec cet homme. Mais ne se sera pas pour cette foi car elle avait du travail. Elle regarda le médecin. Remit son col roulé jusqu’aux yeux. Elle rangea son pistolet de salon ne voulant répondre à Clyde. Elle écrit sur 2 morceaux de papier sur l'un il y avait marqué:
_ merci, grâce a vous je vais pouvoir me défouler.
Elle se leva et posa le papier sur le bureau. Et alla prêt de la fenêtre. Elle ne devait pas rester ici. Toujours de dos pour ne pas donner raison a Clyde sur son identité. Elle ouvrit la fenêtre. Elle sorti un scalpel qu'elle lança sur Clyde avec accroché un autre mot:
_ne me prenez plus jamais pour cet femme, elle n'est rien comparé à moi. Un conseil laissa en dehors de votre métier. Je vous aurai bien défié mais j'ai du travail, à cause de vous beaucoup de gens vont mourir.
Elle passa de l'autre côté de la fenêtre. Elle baissé la tête. Elle tenait debout grâce au rebord. Elle recula pour se laisser tombé.
Elle rattrapa. La fenêtre du dessous n'était pas ouverte elle du casser la vitre. La se trouvait un médecin en consultation. Elle sortit un couteau et les tua elle était a l'étage inférieur.
Elle sortie de la salle et se dirigea vers la sortit en marchant

*trop facil. ce mec m'énerve c'est son premier jour et il me créer déja des ennuis. J'ADOR!!! je vais bien m'amuser.*

elle avait un gens sourir que l'on ne pouvait pas voir car elle vait la moitier du visage caché.

[La suite dans: Main]

Clyde savait où il devait aller... Mais il n'était pas satisfait, non... Il fallait qu'il parle avec Ayelen Nyx au plus tôt. Ce qu'il attendait n'était pas venu et il espérait que cela viendrait très vite.

Mais le lieutenant ne devait pas trainer. Il lut rapidement le message d'Ayelen.

"Je crois que vous devriez venir avec moi et au plus vite!" dit Clyde au médecin en commençant à partir.

Il descendit rapidement les escaliers et rejoignit sa voiture de fonction devant l'hôpital et attendit que le médecin le rejoigne.

[La suite dans: Main]

Il ne pouvait vraiment plus répondre à cette jeune femme, il ne savait pas quoi ajouter, mais il n’eut pas le temps de trouver quelque chose à dire, que la porte de son bureau s’ouvrit, laissant entrer un policier. Pendant une seconde, il fut comme soulagé, mais il fut vite prit de court quand il entendit les deux personnes présente dans son bureau. Ils se connaissaient. Il n’en revenait vraiment pas et ne put dire quoi que ce soit.

Ce qui fit qu’il fut un peu lent à répondre au lieutenant, mais il le suivit jusqu’à la voiture, encore un peu sous le choque de cette rencontre. Il monta à son tour, tout en essayant de remettre ses idées en place. Il fallait maintenant penser à sa famille et rien qu’à eux. Ce qui eut pour effet de le réveiller.

" Allez, foncez, qu’es-ce que vous attendez encore ? "

Il était un peu sur les nerfs, mais c’était un peu normal vu la situation dans laquelle il était fourré.