Akami Cho [Fille de joie]

Nom : CHO

Prénom : Akami

Surnom : Aphrodite

Age : 21 ans

Sexe : Femme

Ville : Tokyo

Famille : Père, mère et sœur décédés. Elle n’a pas de famille mais une amie.

Profession : Fille de joie et danseuse.

Arme : Aucune sauf un bracelet contenant du poison de sa fabrication.

Caractère :
Elle est excentrique dans sa façon de dialoguer. Elle aime parler, mais sait garder un secret. Elle sait qu’elle est belle et en profite auprès des hommes. Un de ses plus grands plaisirs est de rendre certaines femmes jalouses quitte à se mettre en danger de mort. Elle aime avoir un contact physique avec les gens. Elle sait convaincre grâce à son charisme. La beauté pour elle est un moyen d’arriver à avoir plus de pouvoir. Elle ne peut aimer car sa mère lui a apprit à ignorer ce sentiment quand il est envers les autres. Elle peut donner beaucoup d’affection, mais si vous n’êtes pas un proche c’est qu’elle veut quelque chose.

Physique :
Elle a le visage fin, les yeux bridés et noir. Elle a les cheveux noirs et longs. Elle a un physique de rêve pour les hommes. La journée, elle porte un haut noir suivi d’une jupe beige, ses chaussures sont noires ainsi que ses manches. Elle porte toujours des coiffures compliquées. Le soir elle porte, avant de passer à l’acte, un kimono que sa mère portait. Et pour ses danses dans les cafés, elle a toute une panoplie de tenue, plus dévêtue les unes que les autres. Elle porte toujours les mêmes boucles d’oreille qui appartenait à sa mère.

Histoire :
Elle est née en 1899 d’un père et d’une mère japonaise. Elle a une jumelle qui souffre depuis sa naissance de problèmes de respiration importants. Un problème ne vient jamais seul : ses parents s’avèrent être frère et sœur. Au Japon ainsi que dans tout les pays du monde, cette relation est bannie. Tous leurs biens furent repris. Ils décidèrent de partir aux Etats-Unis en bateau. Sur le trajet la jumelle de Akami mourut non pas de sa maladie, mais elle se noya poussée du bateau par Akami elle-même. La police ainsi que les parents ne pouvant y croire, on pensa à un meurtre orchestré par un japonais qui était le prétendant de la mère d’Akami qu’elle renvoya balader pour son frère.
Il fut arrêté par la police. Akami avait 6 ans quand il arrivèrent aux Etats-Unis. Une fois installé aux Etats-Unis le père dût travailler dur pour gagner sa vie. Hélas, Akami ne fut pas acceptée dans les écoles car elle ne parlait pas la langue. Sa mère la garda à la maison et lui apprit l’anglais et lui apprit aussi à devenir une Geisha comme on dit au Japon. Elle apprit à séduire, à bien parler. Et bien sûr, elle s’entraîna pour devenir extrêmement souple. A l’âge de 5 ans, son père mourut dans un accident à l’usine. Elles se retrouvèrent seules, sans argent.

La mère de Akami n’avait jamais travaillé et pour sauver sa fille de la misère, elle se prostitua. Elle était très demandée étant, à ce qui paraît, très douée. Elle draguait tous les hommes susceptibles de lui rapporter gros. Akami, était consciente de ce que sa mère faisait pour elle. Mais son éducation lui interdisait de contester le choix de sa mère. Elle continua son apprentissage.

Un jour sa mère rencontra un homme qui tomba amoureux d’elle. Il les amena alors dans la ville de Kanst. Mais sa mère restait au second plan et cela la rendait folle. Elle décida de tuer cet homme qui osait la faire passer en deuxième. Pour cela, sa mère séduisit le chef d’un clan aujourd’hui éteint, Akami avait 7 ans. Cet homme leur fournit de l’argent. Elles purent vivrent correctement.

A l’âge de 16 ans, sa mère lui demanda de lui rendre un service. Un homme voulait deux femmes : ainsi il payerait un bon prix. Pour aider sa mère, elle accepta. C’est cette nuit fatidique qu’elle perdit sa virginité, cela sera le seul souvenir qui la marquera à vie, car l’homme la maltraita. Elle ne pourra oublier ce regard de monstre se poser sur son corps encore pur, ses coups à répétition, ses hurlements, ce rire: tout cela ressemblait à une scène de viol. Enfin elle le ressentit comme ça. Sa mère ne pouvant plus supporter les cris de douleur de sa fille, cet affront que cet homme faisait à sa fille, elle le tua avec du poison. Mais seulement quand son tour fut arrivé: alors pendant plusieurs minutes qui parurent à Akami une éternité, l’homme prit son pied, comme on dit dans ce milieu là. C’était un viol car Akami ne voulait pas de cet homme vieux et répugnant. Elle avait encore honte de son corps. Une fois l’homme mort, sa mère la prit dans ses bras et dit : « Calme ma fille, calme. Je n’aurais pas dû. Ton corps n’était pas prêt. Je te promets moi vivante plus jamais tu ne souffriras comme ce soir ! »
A ces mots, sa mère tomba en pleurs: cela fut le seul souvenir douloureux qu’elle gardera à jamais.

Le lendemain Akami retrouva sa mère égorgée dans le grand salon. Ce qui la plus marqué dans ce jour, c’est que personne ne lui souhaita bon anniversaire. Elle appela aussitôt des hommes de la mafia qu’elle connaissait. Mais jamais elle ne sut qui avait tué sa mère qu’elle vénérait comme un dieu.
Elle apprit plus tard que la femme que sa mère jalousait avait été assassinée à son tour.

L’homme de la mafia lui expliqua qu’il ne pouvait la reconnaître comme fille et qu’elle devait garder le secret. Ce qu’elle fit. Il la fit emménager dans une maison avec des filles de joies. Où chaque mois, il lui envoyait de l’argent. Il a même profité d’elle, pour sa protection bien sûr.
Hélas, une guerre de gangs éclata et ce chef fut assassiné. Et les hommes qui la protégeaient changèrent de camp. Elle se retrouva seule, sans argent à l’age de 19 ans.
Elle appliqua alors ce que sa mère lui avait apprit. Elle devint une des jeunes femmes les plus affluentes. Les hommes l’ont surnommé Aphrodite, déesse de l’amour dans l’antiquité.

Le jour de ses 20 ans, elle les avait fêtés dans un appartement privé avec un des chefs de gang. Sur le chemin du retour vers son appartement, elle croisa une jeune femme qui baignait dans son sang ; prise d’une admiration pour cette femme, elle décida de la sauver. Elle la prit sur son dos, elle l’emmena chez elle où elle la soigna. Sa mère lui avait appris beaucoup de choses comme l’art de la médecine par les plantes. La jeune femme se présenta sous le nom de Ayelen. Et dès qu’elle était blessée, elle venait voir sa seule amie de confiance pour ce genre de choses. Un jour, Ayelen lui raconta qu’elle avait entendu son nom de famille cité comme le nom d’une affaire. Et que l’homme avait aussi énoncé le nom d’une japonaise. Elle avait compris pourquoi cette enquête était tabou, car la mafia y était trop impliquée.
Cette amitié, bien sûr, est secrète. Mais Akami tient à cette personne car elle remplace sa petite sœur. Elles fêtèrent ses 21 ans ensemble dans la joie et la bonne humeur.
Akami n’avait pas de but précis dans la vie, juste une chose à protéger : Ayelen cette fille fantôme qui lui a ouvert son cœur et donné sa confiance.

[Début de son histoire avec le sujet: Sur un banc]