[Le poste de police] Dans le secrétariat...

Installée au bureau du secrétariat, à l'entrée du poste de police, Sara lambinait en lisant le journal qui était sortit hier, les pieds sur le bureau. Elle était en train de lire la page des "Actualités", et était tellement concentrée qu'elle n'avait pas remarquée la porte du poste s'ouvrir, ni des pas se diriger vers le bureau ou trônait ses pieds. Mais, une fois sa page terminée, la jeune femme leva les yeux du journal et aperçut la personne devant elle, sursauta, et tomba par terre dans un bruit infernal. Sara se leva péniblement, puis salua la personne devant elle.

"Bon... Bonjour! Je ne vous avait pas vus! Désolée!"

Et la personne qui venait d'entrer dans le poste de police était Clyde Elslander, le nouveau lieutenant de police.
Il avait mit son uniforme bien propre et bien repassé, histoire de faire bonne impression pour son premier jour de travail. Il était un peu raide, d'autant plus qu'il ne savait pas trop réagir après avoir vu la jeune femme du bureau du secrétariat en position si peu élégante. Il décida de faire comme si de rien était et étudia le visage de la jeune femme en s'approchant du bureau. Il ne la connaissait pas évidemment... Il ne connaissait encore personne à Kanst. Il avait juste rencontré le commissaire et le capitaine lors de son entretien d'embauche.

"Bonjour. Je suis le nouveau lieutenant, Clyde Elslander." dit-il en triturant son képi qu'il avait enlevé en entrant.

Tout de suite en apercevant l'uniforme propre et en entendant les paroles du nouveau lieutenant, la jeune Sara regarda son supérieur droit dans les yeux.

*Ah! La poisse! Il a fallu que le seul moment ou que je me reposait, je tombe sur le lieutenant! Quelle beau début de journée!*

"Oh! Bonjour lieutenant Elslander! Je suis Sara Grant. Pardonnez-moi si je n'était pas vraiment en position de vous recevoir, c'est juste que j'étais en pause, alors j'en ai profitée!"

Sara arrangea sa tenue quelque peu froissée par sa chute et regarda l'ensemble parfait du lieutenant. Il était largement plus beau que la sienne et son badge était superbement brillant, comme s'il s'en était occupé durant des heures et des heures. On pourrait presque se voir à l'intérieur.

Un peu plus à l'aise, Clyde serra la main de la jeune femme avec un sourire cordial.

"Enchanté. Ce n'est pas bien grave, vous savez..."

Il regarda un peu partout autour de lui. Tout était calme dans le commissariat. Cela le changeait de Scotland Yard où l'agitation régnait en permanence. C'était tout juste si on avait le temps de se dire bonjour. Clyde aurait sûrement un peu de mal à s'habituer.

"Pouvez-vous m'indiquer mon bureau, s'il vous plait, Miss Grant?"

Clyde se souvenait que, souvent, lorsqu'il était enfant, les instituteurs lui faisaient faire la plupart des lectures en classe. On lui disait qu'il avait un anglais parfait. Cela aussi faisait qu'il se sentait un peu en décalage ici. Il lui arrivait même de ne pas comprendre ce que lui disait certaines personnes, comme l'employé de la station service, qui avait sûrement essayé de l'arnaqué (Clyde ne s'était évidemment pas laissé marché sur les pieds...).

Sara se sentit quelque peu faible et plus petite qu'elle ne l'est déjà quand le lieutenant lui serra la main. Une poigne forte, puissante, confiante. Tout pour faire un excellent lieutenant en fait!

*Il a dû s'entraîner longtemps pour en arriver là...*

La jeune fille sursauta en entendant les dernières paroles de son supérieur. On ne lui avait pas indiqué son bureau lorsqu'il a été engagé? D'habitude, c'est l'une des premières choses qu'on indique aux personnes importantes...

"Heu... c'est au fond à gauche... enfin, je crois..."

Sara parlait vite et espérait qu'il comprenne ses paroles, car sa gêne avait pris le dessus plus vite que prévu. D'ordinaire ses supérieurs la négligaient ou lui faisait parvenir des ordres par des moins haut gradés.

"Tout le plaisir est pour moi!"

Elle fit une révérence puis, elle posa alors au sol l’étui de son violon. Elle mit les mains derrières son dos.

"Oui nous nous connaissons depuis 3 ans. C’est une amitié à laquelle je tiens énormément."

Elle se retourna vers sarah.

"J’allais oublier, c’est pour toi!"

Elle sortit de sa manche une rose blanche et la tendit à Sarah.

"Bon présage, non?"

*cet homme est important il faut que je fasse attention à ce que je fais et dis*


Elle se retourna vers lui.

"Je ne vous avais jamais croisé monsieur Elslander vous venez d’arriver à kanst?"

Etant timide elle n’arrivait pas le regarder en face et détournait le regard afin de ne jamais avoir à croiser le sien.

Dès l'arrivée de Ayalen, Sara essayait de regarder discrètement dans les manches de son amie, à la recherhce de la couleur de la rose. Pendant que Nix et son supérieur parlaient, la policière cherchait des yeux la fleur. Ou était-elle? Pourquoi ne la voyait-elle pas? Une réponse commençait à se germer dans son esprit.

*Elle doit sûrement mieux la cacher pour ne pas que tu découvre qu'elle est de couleur rouge...*

Grant secoua la tête, essayant de chasser cette mauvaise pensée. Mais rien n'y fît, cette réponse restait dans sa mémoire. Elle tentait tellement d'enlever cette pensée qu'elle ne remarqua pas la rose blanche que son amie avait fait sortir de sa poche. C'est seulement en regardant dans la direction d'Ayelen que Sara aperçu la rose. Elle sourit puis prit la fleur blanche, soulagée.

"Merci! C'est un excellent présage même!"

*Je le savais! Ayelen ne m'aurais jamais fait ça! Nah!*

La policière retourna à sa chicane intérieure et laissa son amie et son lieutenant parler, totalement perdue dans ses pensées.

"Oui, je viens tout juste d'arriver à Kanst. Je viens de Londres..."

Clyde ne le montra pas, mais il avait été très intrigué par le petit manège de la rose.

*Un bon présage? Qu'est-ce que cela peut bien signifier?*

Cela lui rappela un vieux truc qu'utilisait les gangsters pour confirmer ou non si un sale coup allait avoir lieu.
Cependant, cela paraissait maladroit et un peu trop évident à comprendre.
Soit Clyde était totalement parano, à côté de la plaque, soit Miss Nyx était aussi mal à l'aise qu'elle en avait l'air.

Tout cela lui fit penser qu'il serait plus intéressant de continuer à discuter avec les jeunes femmes plutôt que de lire de la paperasse.

"Je suis désolée, je ne savais pas... Je ne savais pas... Qu'il y aurait quelqu'un d'autre. Sinon, je vous aurais apporté une autre rose !"

*En me donnant son nom et son origine, c'est comme si il me disait sa date de naissance, et tout ce qui suit. Inconscient !*

Elle refit une révérence, puis se releva. Elle enleva son manteau, qu'elle posa sur une chaise. Sa robe était noire, elle avait un col roulé. Ses manches couvraient jusqu'à ses mains. Elle s'avança, tout près de lui, et, une fois à quelques centimètres de son visage, elle lui dit :

"Avez-vous des parents ici ?"

Clyde devint tout d'un coup très méfiant. Il n'aimait absolument pas ce passage d'une jeune fille timide et distante à une femme trop familière.
De plus, si cette fameuse rose était tout ce qu'il y avait de plus innocent, la présence de Clyde n'aurait pas du influer sur sa nature. Cela devenait vraiment trop gros.
Clyde en vint même à se demander si Miss Nyx ne cherchait pas à le tester.

"Non." fit-il d'une voix beaucoup moins cordiale.

"Pourquoi ce changement d'attitude ? Contrairement à vous, je n'ai pas eu la chance d'être élevée et de grandir dans un milieu privilégié. Si c'est mon métier qui vous gêne, sachez que je n'ai pas eu les mêmes possibilités que vous, je survis aves les opportunités qui s'offrent à moi, je n'ai pas le luxe de pouvoir faire le tri."

Elle se retourna, remis son manteau sur ses épaules, et, d'un geste sec, reprit son violon. Elle se dirigea à grand pas vers la porte. Les mouvements de tissus de son manteau, dans la précipitation, découvrirent, accrochés dans les manches de Ayelen, une panoplie d'armes blanches.
Elle regarda Sarah d'un air désolé.

Clyde était absolument atterré. Son métier? Voilà qui étais curieux... Pourquoi lui parlait-elle de son métier? Il ne savait pas quel était son métier... Et d'ailleurs, comment aurait-il pu le savoir? Il ne la connaissait même pas!
Et que savait-elle de son passé? Elle non plus ne le connaissait pas... Et il n'avait pas grandi dans un milieu particulièrement privilégier...

Cette façon de lui parler le laissa perplexe, il ne s'attendait pas à ça. Mais surtout, cela l'excédait.
D'abord, cette jeune fille faisait tout pour se montrer le plus louche possible, puis dès qu'il se montrait méfiant, elle se mettait à s'énerver!

Clyde faillit perdre son sang-froid. Il inspira profondément, sachant que s'énerver ne menerait à rien, d'autant plus qu'il en avait déjà fait les frais.
Cependant, tout ceci ne l'empècha pas de remarquer sa panoplie d'arme blanche. Cette jeune fille était louche et totalement inconsciente.Cependant, tout cela s'était passé trop vite pour que Clyde puisse réellement intervenir.

"Excusez-moi, j'ai du travail. Miss grant, je pense que nous ne nous reverrons à la pause du déjeuner, mais je n'en suis pas sûr. Bonne journée, Miss Nyx." dit-il en essayant de rendre sa voix la plus neutre possible.

Puis il se dirigea vers le bureau que lui avait indiqué Miss Grant et ferma soigneusement la porte derrière lui, pour éviter de la claquer...

[HJ : Je trouve que tu te dévoile trop vite, Ayelen. Ca devient... surréaliste]

[La suite dans:Le lieutenant découvre son bureau]

Sara avait assistée à presque toute la scène (parfois elle retournait dans ses pensée...), incrédule. Tout cela s'était passé vraiment trop vite. Tellement que la policière en était devenue mêlée, mais tout ce qu'elle savait c'était que Clyde et Ayelen partaient en même temps, mais vers des directions opposées. Elle se sentit abandonnée tout à coup. La jeune femme regarda son amie, puis lui fit un sourire d'au revoir, avant de répondre à son supérieur.

"Je ne serais pas là ce midi, je serais chez nous à manger avec Clara!"

Puis, elle fît un clin d'oeil complice à Ayelen juste avant son départ, et une fois tout le monde partir, la policière oublia très vite ce qui s'était passé et reprit sa lecture, assise de la même manière qu'au début.

[Hum... maintenant je crois qu'on peut fermer le sujet^^]

[je ne dévoile rien je parle de mon métier de violoniste et en aucun cas de mon deuxième métier!je te rappellle que mon perso est assez stressé et fais des erreurs tout le temps.]

elle attendit qu'il sorti de la pièce pour chuchoter quelque chose à l'oreille de sarah.

"surveille qu'il ne fouille pas dans mon dossier. ce serait compromettant pour moi. tu lui adresseras mes excuses. tu me connais je veux toujours tout savoir quand il s'agit sûrment d'une de mes victimes!!! je compte sur toi, s'il devient trop gênant pour moi je n'aurais pas le choix. préviens moi si il dépasse les limites. je viens te voir demain à la même heure. tu sais que je tiens à toi!"

elle prit alors un dossier posé sur la tabl puis.elle se dirigea vers la porte et sorti.

[La suite dans:Concert]

Sara lâcha son journal pour entendre ce que sa chère amie avait de si important à lui dire.

*Tiens, elle me chuchote un truc dans l'oreille... Un secret, sûrement! Mieux vaut écouter ce qu'elle dit au lieu de penser toute seule!*

Mais en fait, la policière était tellement perdue dans ses pensées qu'elle n'écouta pas du tout son amie. Mais lorsqu'elle avait finie, Sara sourit à Ayelen, comme pour lui faire croire qu'elle a compris, puis lui dit:

"Compte sur moi!"

Avant de retourner dans sa lecture des Actualités. Sara n'écoutait jamais ce que les autres lui disait, et c'était tant mieux car elle ne tenait jamais ses secrets.

Quelques heures plus tard, la porte du poste de police s'ouvrit à la volée.

Une jeune femme asiatique habillée tout en noir entra, visiblement à bout de force.
C'était Matou qui finissait enfin sa course effrénée. Elle s'approcha du bureau du secrétariat mais s'écroula avant de l'atteindre. Elle resta assise par terre et reprit son souffle. Elle retira rapidement ses bottes et poussa un soupir de soulagement.

"Aïe! Aïe! Aïe! Les talons hauts, pour courir, il y a mieux!" dit-elle en commençant à se masser les pieds au travers de ses bas de soie.

(Ouf! Enfin quelqu'un! Faisons la fiesta^^)

En entendant la porte s'ouvrir brusquement et une jeune femme entrer, Sara porta un peu attention à la personne qui avait entrée, sans toutefois sortir son visage du journal. Mais c'est seulement lorsque l'inconnue tomba que la policière lâcha son journal pour s'agenouiller à côté de l'asiatique afin de vérifier son état. Était-elle blessée? Fallait-il l'emmener à l'hopîtal? Toutes ces questions se bousculaient dans l'esprit de Sara, qui n'avait jamais suivie de cours de soins auparavant. Mais ses questionnements disparurent dès que l'asiatique s'assied et se mit à masser son pied en parlant de ses talons hauts. La policière (et non la secrétaire, hein Captain Courage?) se mit à rire à cause de la réplique de la dame en noir, puis aida la dame à se lever.

"Mais pourquoi étiez-vous en train de courir pour venir au poste de police? Un problème? Nous pouvons vous aider!"

Une fois debout, Sara enleva la poussière de son uniforme et ne fît même plus attention à l'inconnue, accordant son attention uniquement à ses vêtements de police et aux multiples plis qui commençaient à se former.

Matou remercia la policière après que cette dernière l'eut aidé à se relever.

"Je me doute bien que vous pouvez m'aider... C'est d'ailleurs pour cela que je suis venue ici." dit-elle en souriant.

Elle regarda partout autour d'elle, comme si elle cherchait quelque chose. Et effectivement, elle cherchait quelque chose. Son attention s'attarda sur le bureau du secrétariat.

"Vous n'auriez pas un bout de papier, un crayon de bois et un plan de la ville?" demanda-t-elle à la policière en essayant de réattacher en vain quelques mèches de cheveux obstinées.

Sara se mit à rire d'un rire assez niais lorsque l'inconnue lui avait parlée du fait qu'elle pourrait l'aider. Elle riait souvent pour un rien la pauvre!

*Quel humour! Elle est rigolote celle-là!*

La policière n'eut aucun soupçons sur le fait que tout ce qu'elle demandait, c'était un crayon, une feuille et un plan de la ville, et ce dans un poste de police! Sara, généreuse comme elle est, se mit à chercher partout la trace d'un des objets demandés. Elle passa la pièce complète au peigne fin, avant de trouver un crayon et un bloc-notes dans le premier tiroir du bureau. Grant les tendit fièrement à la mystérieuse jeune femme.

"Tenez! Mais pour le plan de la ville, je cherche encore... je le trouverais sûrement au moment ou je n'y penserais plus, comme d'habitude!"

Mais c'est seulement lorsqu'elle se tourna pour aller s'asseoir au bureua du secrétariat qu'elle remarqua le plan de la ville affichée juste sur le mur derrière le meuble. Contente d'avoir trouvée ce qu'elle cherchait, Sara regarda la dame tout en pointant le plan du doigt.

"Il est là! Besoin d'autre chose?"

*Elle est joviale, elle, au moins... Mais elle me parait drolement naïve pour une policière...*

Matou souriait à la gaieté de la jeune femme.

"Merci bien." dit-elle en prenant le bloc-note et le crayon.

Elle se mit à griffoner sur une feuille vierge. Après avoir reçu des cours de calligraphie, Matou savait se servir de sa main droite et elle dessinait très bien. Et c'était ce qu'elle faisait à ce moment, elle esquissait rapidement le visage d'un homme. Ce visage avait des traits juveniles et réguliers, des lèvres épaisses et un nez pointu. Des mèches de cheveux lui retombait en désordre sur le visage.

Lorsque le dessin fut terminé, Matou le retourna pour le montrer à la policière. Elle prit le plan sous sa main et commença ses explications...

"J'ai rencontré cet homme ici. commença-t-elle en indiquant une boucherie sur le plan. Lorsque je suis entrée, il avait assomé le boucher. Du moins je le suppose, puisqu'il l'a frappé une nouvelle fois alors que le boucher commençait à se réveiller. Il a remarqué ma présence mais m'a seulement dit de partir. Mais je suis restée et je l'ai vu ouvrir la caisse du magasin et se servir. Après, il m'a menacé de me frapper si je ne partait pas.
Je suis donc partie...
Il y est peut-être encore, à l'heure qu'il est, cet idiot..."

Après avoir dit tout ça d'un coup, Matou récupéra ses bottes et commença à les remettre en s'asseyant sur le bureau.

"Voilà... Vous avez encore besoin de moi, pour cette histoire?" demanda-t-elle en souriant aimablement à la policière.

L'air d'écouter attentivement ce que lui diasait la jeune femme, Sara était en fait complètement dans la lune, pensant à sa fille et au moment ou elle s'était embarquée dans les Forces de l'Ordre. Lorsque l'inconnue eut finie son histoire, la policière sortir de la lune et reamrqua enfin le dessin et la boucherie que la dame avait pointée avec son doigt.

*Tiens... il doit sûrement y avoir un rapport entre la boucherie et le dessin de l'homme...hum... je devrais aller voir ce qu'il y a dans ce secteur...*

"Bien, madame. Je vais m'occuper de tout. Tout ce dont j'ai besoin, ce serais de votre nom et de votre numéro de téléphone pour pouvoir vous appeller si jamais j'ai besoin de quelqu'un pour identifier le suspect. Si vous voulez, je pourrais aussi vous reconduire à votre travail ou dimicile, ça vous empêchera de marcher avec des talons hauts!"

Sara se mit à rire, même si sa dernière phrase était plus stupide qu'autre chose. La policière commença à s'habiller pour aller dehors, quand elle se rappella qu'il fallait toujours avoir son coéquipier lors d'une arrestation, au cas ou le malfaiteur se débattrait.

*Bah... je saurais me débrouiller seule cette-fois ci...*

Elle haussa bêtement les épaules et partit chercher les clés de la voiture de police.

(Et moi j'édite celui-ci^^)

Une fois revenue avec les clés, Sara prit la carte de visite de la dame, le lit et un sourire s'afficha sur le doux visage de la policière.

"Vous êtes chanteuse? Chouette! Je passerias peut-être un jour vous voir avec ma fille, vous pourriez lui signer un autographe! Mais pourquoi votre nom de scène est Matou? Vous êtes maléfique? Vous aimez les chats? Avez-vous des chats lorsque vous jouez sur scène? Sinon, moi je ne viens pas vous voir! Mais peu importe..."

Sara mit les coordonnées de Matou dans son porte-feuille, prit l'auto-portrait de l'homme et lui fît signe de la suivre avant d'entrer dans le véhicule de police.

"Une dernière chose et vous serez libre: on va d'abord aller voir à l'endroit ou vous avez vue l'homme. Il me faut votre aide car moi j'ignore ou c'est! Ensuite, quand vous aurez identifié le criminel, j'interviendrais. Puis vous n'aurez qu'à partir à pied. C'est clair?"

La jeune femme mit les clés dans la contact et la voiture démarra vers la boulangerie.

(Suite --> Boulangerie)
(Mais au fait, il n'y a PAS de boulangerie!)

[La suite dans: La routine]