[Le café St James] Soirée-spectacle

Le commissaire poussa la porte du café St James. Il avait enfin totalement séché, aprés s'être fait trempé durant sa sortie dans le parc. Il avait faites plusieurs rencontres aujourd'hui. Une qui a boulversée sa vie : Celle d'Elly. Il fut bien dupé ce soir par cette femme qui semblait avoir un grand coeur.
Il fit la rencontre d'un autre homme prétendant être prêtre. Yvan ne fut pas duppé sur ce point. Il sentait que l'homme avait une partie mystérieuse. En effet, Maricher Kanpsach était un homme à double face. Il parrait assez fou sur les bords. Pour Yvan, mieux vaut s'en méfier.
Il avança donc jusqu'au comptoir tout en admirant une beauté chanter. Tous les hommes fantasmaient sur elle. Elle avait effectivement un phisique de rêve. Mais pour le commissaire Lefranc, la seule femme pouvant combler ses dsirs, c'était Elly.
Il commanda donc un verre d'eau et partit s'assoir... Il trouva une place à côté d'un homme (Clyde... Eh oui ca tombe sur toi désolé ^^') qu'il ne connaissait pas, ce qui était assez rare : Yvan était un des policiers les plus populaires de la ville et connaissait beaucoup de monde...
Le commissaire buvait donc son verre d'eau tout en contemplant la chanteuse sur scène. Il n'était pas d'humeur à avancer vers quelqu'un, il préférait attendre que quelq'un vienne lui parler, afin d'oublier le prêtre et Elly...

Autumn entendit avec lassitude la porte s’ouvrir de nouveau. Afin de mieux observer le nouvel arrivant, il pivota sur son tabouret, tasse de café à la main, et fit un rapide examen de son apparence. D’un âge indéfinissable, il alliait une certaine finesse aux traits tirés et fatigués des policiers de Kanst, pointant sans cesse ses yeux bleus soulignés de légères cernes sur un autre officier de police, aussi quelques mètres plus loin. Ce n’est qu’au deuxième coup d'oeil qu’il reconnut Yvan Lefranc, commissaire de la ville.

*Hum, si je me souviens bien, il a traité les affaires des détournements de fonds de la banque centrale, du trafic clandestin d’opium et de la corruption des fonctionnaires de l’hôtel de ville, dans lesquelles j’ai trempé … Trois non-lieux, ça doit être vexant après avoir ferré trois fois le même poisson ! Quoiqu’il en soit, l’ambiance devient un peu chargée en poulets à mon goût. Il serait opportun de dégager si je veux conserver une certaine … Liberté d’action.*

D’un geste machinal, il rajusta ses lunettes sur son nez et décida de se faire discret. Hélas, pour un colosse de son acabit, c’était bien plus facile à dire qu’à faire. Cependant qu’il se livrait à ces réflexions, la chanson se terminait doucement, rappelant au jeune homme l’existence de la chanteuse qu’il avait oubliée l’espace d’un instant. La situation était extrêmement embarrassante : d’un côté, la fréquentation de policiers lui était plus que déplaisante, mais de l’autre, il eut été inconvenant de quitter le café ainsi en plein concert.

La porte s'ouvrie une nouvelle fois, laissant un vague de froid entrer dans le café, puis se diciper bien vite. Un homme d'assez grande taille, aux trais fins et réguliés pénétra dans la salle.
Il avait d'assez long long cheveux brun et un visage impassible. Il semblait dénué de sentiment. Le nouvel arrivant portait sa longue veste noire sintrée, son élégant chapeau et sa câne minucieusement décorée. Chose assez particulière vue qu'il faisait nuit, il portait de petites binocles teinté noir.

Il ballaya du regard le publique, s'arrétant un instant sur le commisaire LeFranc qui salua de loin. Enfin il vit une petite table ronde, et surtout, libre et s'y assit. Il était à coté d'un homme de grande taille. Il semblait mal à l'aise, et vouloir se faire discret. Tak sourit interieurement (Et oui c'est toi Autumn). Puis s'installa convenablement, reportant son attention sur la jeune et belle vhanteuse. Il était rare de voir une aussi belle femme. Elle semblait presque idéalisée.

Un serveuse ne tarda pas à venir. Elle était plus ordinaire, mais pas déplaisante.

"Vous prendrez quelque chose monsieur?"

"Oui, un café je vous pris..."

La serveuse aquiéssa et repartit pour chercher le café. Tak avait remarqué un petit sourire, cela venait de son accent assez étrange. En effet, bien qu'il est passé beaucoup de temps à Londres, il gardait des habitudes Française, son pays d'enfance, Asiatiques et Latines. Mais cela allait se diciper.
Il écouta la chanteuse et fit glisser ses yeux sombre sur son voisin de droite. Leur regards se croisèrent...

Clyde fut heureux de voir Ayelen accepter le contrat, et, à son grand étonnement, il fut encore plus heureux de la voir sourire. Il lui sourit à son tour tout en sentant la sensation de serrement à la gorge se renforcer. Maudite gorge.
Il prit le contrat signé et en donna une copie à Ayelen pour qu'elle le conserve. Il se détendit et s'appuya sur le dossier de la banquette sur laquelle il était assis.
Il acquiesça vaguement lorsqu'Ayelen parla une fois encore de la voix de Matou. Non pas qu'il n'appréciait pas le spectacle. C'étit toujours par soucis de politesse envers Ayelen.

"A présent, nous pouvons profiter pleinement du spectacle."

Clyde se sentait bien, il avait l'impression d'avoir fait un pas en avant, d'avoir bien fait son boulot et d'avoir l'esprit plus large. Et il espérait qu'Ayelen se sentait aussi bien que lui, même si c'était peu vraisemblable.

Le lieutenant leva un bras enthousiaste pour appeler une serveuse.

"Deux cocktails, s'il vous plait!
Pour fêter votre promotion." ajouta-t-il en souriant à Ayelen.

C'est à ce moment qu'il se rendit compte qu'un homme s'était assis à côté de lui. Il le regarda. Et il sursauta.

"Mr le commissaire!"

Clyde se sentit très mal à l'aise. Il ne connaissait pas bien son supérieur et ne lui avait que très peu parlé. Il recevait plutôt ses ordres du capitaine. Clyde craignit que le comissaire LeFranc ne reconnaisse Ayelen et commence à poser des question, ce qui devait fatalement arriver...
Tout le travail que Clyde avait fait durant l'après-midi, il l'avait fait sans en parler avec le commissaire, d'abord, pour la simple et bonne raison qu'il n'avait pas put et ensuite... Même si le commissaire avait refusé, il l'aurait quand même fait.

Comme Ayelen avait signé le contrat, elle n'avait rien à craindre du commissaire, mais pour Clyde, c'était plus compliqué...

Pour fêter votre promotion."

"Promotion! une descente au enfer oui! Je ne bois pas. Tu semble bien heureux ne me dis pas que c'est a cause de ce contrat!"

"Mr le commissaire!"

Ayelen se crispa, elle avait l'habitude de voir et parler à Clyde maintenant, mais un commissaire inconnu. Elle eu le reflex de toucher son colt d'un main. Elle n'était plus a son aise, Clyde avait réussi a la tranquilliser, mais cet homme était encore dans sa tête un ennemi. Elle regarda Clyde, lui montrent qu'elle ne pouvait pas encore être à la même table que cet homme. Être considéré d'égal a égal avec un commissaire, cela n'était pas encore dans ses moyens. Mais elle ne pouvait pas non plus partit comme cela. Toujours en gardant un main sur un de ses colts elle commença une discussion.

"Vous êtes commissaire? Monsieur Elslander vous en m'aviez jamais parler de ce monsieur!"

*il faut que je parte!*

Éloise sourit en entendant une voix se lever demandant deux coctkails

*Il doit y avoir un grand évènement pour ces gens à la table! ^^*

Elle se retourna vers la voix et son sourire s'agrandit lorsqu'elle remarqua que c'était l'homme et la femme qui était assit à la même table il y avait de cela peut-être une vingtaine de minutes.

*Je savais qu'ils auraient besoin de quelques choses a un certains moments! *

Elle avança vers la table en souriant, puis prit son carnet et son crayon puis tout n regardant l'homme quiavait commandé ,elle s'écria d'une voix pleins d'énergie ;

-D'Accord je vous l,apporte dans un instant!

Elle se snetait reprendre la forme même si elle avait due veiller jusqu'à très tard pour prendre soin de sa mère malade... Mais, elle devait encore travailler, sinon elles n'y arriverait pas, déjà que par son faible salaire il y avait deux bouches à nourrir, c'était bien difficile. Arrivée à la cuisine, elle sourit à une de ses collègue tout en préparant les deux cocktails de monsieur et de madame. Elle prit soin de les prépaprer avec esthétique, de toute façon, les clients n'était pas encore tous arrivé, mais cela n'allait pas tarder, déjà l y en avait plusieurs qui étaient entré.

Une fois le plateau préparé, elle se dirigea vers la table du policier e de l'autre dame dont elle ne reconnaissait ni le visage ni le nom. Elle se risqua ensuite à dire ;

[b]-Voilà vos cocktails monsieur et mademoiselle! Il doit y avoir un bien splendide évènement pour commander deux aussi bons breuvages! J'espère que vous apprécierez, voulez-vous autre chose? PAssez un bon spectacle! ^^

Elle se tourna cependant cers la jeune femme, tout de même intriguée. Après tout, dans cette froide saison d'hiver il était bien rare qu'il aille des visiteurs...

[Désolé Tak, je compte aller m'aérer un peu ... Clyde :: Du champagne ... En pleine prohibition ?]

Un nouveau client venait de faire son entrée dans le café, habillé de façon étrangement élégante. Il balançait dans un mouvement harmonieux une canne au pommeau gravé qui battait régulièrement le plancher du Saint James. Autumn lui jeta un regard en coin, et constata non sans déplaisir qu'il ne faisait pas partie de ses "fichiers" de la pègre de Kanst. Il restait deux solutions : qu'il soit plus riche ou plus discret que le monde qu'il fréquentait habituellement, et les deux perspectives étaient peu agréables au jeune homme. Faisant fi de ces mauvais présages, le nouvel arrivant vint s'assoir à côté du colosse avec un air améne.

Au second abord, la physionomie de l'homme ne lui paraissait pas étrangére, sans qu'elle évoque quoi que ce soit de précis dans l'esprit d'Autumn. Cela était d'autant plus étonnant qu'il était persuadé d'avoir une mémoire quasi-photographique en matière d'hommes, et de ne jamais oublier un visage. Ses yeux verts, sombres et durs, son teint hâlé, ses traits fins lui rapellaient définitivement quelque chose. Soudain, il ne put retenir un geste de surprise qui ébranla sa tasse alors qu'il prenait brutalement conscience de la dernière occasion où il avait vu cet homme. Tak Fennrius ! Le tigre des lutteurs clandestins ! Il ne l'avait vu combattre qu'une seule fois à Londres, et sa sa présence ici était aussi étonnante qu'inquiétante. Néanmoins, Autumn n'était pas de ceux qui craignent les forts et les puissants.

La seule évocation des temps où il se battait pour la mafia dans la pègre Londonienne fit remonter en lui une bouffée de violence, accentuée par le bonheur apparent de deux jeunes gens, qui venaient de commander des cocktails. Il détestait les gens heureux. Il se leva d'une traite, un sourire ambigu sur le visage et des flammes dans ses yeux noirs, laissant dans une coupelle le prix des deux cafés. Il repoussa de sa botte avec un geste brutal le tabouret, et contourna la table. Au passage, il lâcha au jeune homme :

"- Peut-être à une autre fois, M. Fennrius ..."

Il avait besoin d'air, peut-être même d'agresser gratuitement un passant pour se passer les nerfs. Tout ça depuis qu'il avait entendu cette stupide chanson et revu ce lutteur ... Il jeta un denier regard à la chanteuse, à la fois plein de regret, d'amertume et de colére, et il poussa la porte. Mais ses yeux s'arrétèrent un instant sur la jeune serveuse qui soufflait un instant avant de reprendre le service, à quelques mètres de l'estrade. Ses longs cheveux bruns et épais descendant jusqu’à ses hanches, ses yeux ambrés, et son visage aux traits doux respiraient d'une sorte de fraicheur et de sérénité, à un tel point que le jeune homme se demanda comment il ne l'avait pas remarquée plus tôt. Cependant, son air souriant et plein d'énergie constrastait avec un regard légèrement douloureux, comme si elle avait une arrière-pensée désagréable. Puis, il vit qu'elle se sentait observée, et il se détourna violemment en rougissant.

Troublé, il avait le pressentiment que son passé n'avait pas fini d'essayer de le rattraper ce jour-là. Il poussa un soupir et sortit.

[La suite dans: Des pas dans la neige et mes souvenirs...]

Tak était trés observateur. Même derrière les binocles de miope, il appairssut on plus profond des yeux bleu de son voisin, comme un déclique. Il semblait le connaître. Cela pouvait lui être profitable, autant que dangeureux. Il ne semblait pas, par son odeur et la présence d'une chaine male cachée, être des forces de l'ordre. Mais s'il travaillait pour quelques grands noms d'organismes tel que la mafia Italienne, Chinoise ou Londonienne, il se pouvait qu'il se retrouve dans ce cercle, sans pouvoir s'amuser tranquillement pendant ce séjour à durée indéterminée de la ville de Kanst.
Ce que Tak lui sembla connaître était cette taille pour le moins imposante. Lui était grand, mais cet homme s'était autre chose. Une telle carrure présageait une musculature et une connaissance des combats de rue et des combats raprochés. Ses cheveux étaient plutôt laissaient à leur liberté, blouclant. Le teint mate et ces traits typés étaient tipiques des italiens.

"- Peut-être à une autre fois, M. Fennrius ..."

Mais ce qui le fit recouvrir la mémoire, s'était son accent de Londres. Il se souveint l'avoir vu non loin de la mafia Londonnienne qui étaient à ce moment là son patron. Ce jour là, aprés plusieurs combat en match de poule, puis un en survival en cage, il eu massacré un colosse anglais qui ne savait pas se déplacer rapidement. Il lui avait broyé les articulations. A ce jour, il ne pouvait toujours pas combattre.

Il salua silencieusement l'homme, toujours son regard aussi froid, toujours aussi impassible. Cela risquait de présager une atmosphère quelque peut jouissive pour toute personne comme lui...

Enfin il reporta son attention sur la chanteuse Matou qu'il trouvait bien belle. Un séductrice. Le surnom 'Matou' lui allait à merveille. Elle se déplaceait avec l'élégance, la souplesse et le flègme du chat. Trés féminine, ses griffes étaient bien caché dans un gant de velour. Pourtant, il lui semblait que la chanteuse avait un vide, comme si il lui avait manqué quelque chose, cela remplissé par une faible douleur presque infime. A parement elle savait se mettre en scène.


Enfin la serveuse vient à ammener le café serré qu'avait commendé Tak. La jeune femme le posa sur la table, les bruit de choque avec le bois et de cuillère avec la porcelaine sonnèrent.
Il y avait un tel contraste dans son comportement et son physique.Elle semblait vive et plaine de joie et d'énèrgie, mais à la fois une déchirure ou quelque chose de semblable. M. Fennrius pas ses yeux verts et froids sur la jeune femme...Ceci sans aucune gène...

M. Fennrius hota ses gants de velour et les posa à table, sur une nape rouge. De dessous ses gants, on put voir ses mains douces et fines, chose essez étrange pour un combattant d'arène. Mais l'on remarquait aussi la taille de ces mains, souple qui plus est. Le jeune homme saisit de ses doits fins la petite cuillère froide, en acier, et remua le café avec un petit cliquetit dés que la cuillère rencontrait en un faible choc le rebord de la tasse. Il se dégagea du café une volute de vapeur, une partie se condenceant sur la cuillère et formant ainsi de petite goutelette sur celle ci.

Tak portait son attention sur la chanteuse. Il lui semblait avoir déjà vue quelques part...Il avait une trés bonne mémoir visuelle, et son visage, ainsi que son corps lui était familer. Il tenta de retrouver l'identité de la jeune femme tout en buvant par petite gourgées sa tasse de café.
Il chercha dans la poche de sa veste une boite de cigarette, en sortit une et l'alluma, créant un nuage fin de fumé, dessinant des formes abstraites.

Ca y est, il se souvenait, la fameuse Gaïcha qu'il avat rencontré quand il eu ressut une balle au flan droit. Elle lui avait apportée les premiers soins. Mais lui s'était enfuit, quand ses jambes lui eussent permis...

(Désolé Matou, mais bon, j'était inspiré, tu me pardonneras j'éspère^^)

(Un peut dire que c'est des cocktails alcoolisés? ^^' )

Éloise regarda encore quelques intants la jeune femme et le jeune homme avant de s'éloigner. Ceux-ci avaint tout de même l'air dans une grande discution, peut-être ne valait-il mieux pas les déranger...

Elle se tourna ensuite vers Andrea, le visage rayonnant. La soirée s'annonçait bien, le café était déjà remplit de clients.

*Héhé bonjour les pourboires! Et en plus cette Matou a beaucoup de talent! ^^ *

Elle s'avança donc vers la gérante, un fois parvenue à elle, elle lui posa cette question d'un voix mêlée de curiosité et d'un certain enthousiasme que la serveuse était incapble de retenir.
-Dites... Vous m'avez parlé d'un certain jeune homme plus tôt dans la soirée... Il est venue?

Elle la regarda en souriant d'un air un peu gênée. Oui, elle avait été assez directe, mais elle ne voulait pas la déranger trop longtemps...

[Des cocktails non-alcoolisés tu veux dire? ^^]

Andrea écoutait toujours attentivement la jolie chanteuse qui ne cessait d'émerveiller les spectateurs et spectatrices -surtout ces premiers- avec sa chanson émouvante. Elle commença à laver le comptoir, maniaque de la propreté qu'elle était, même si celui-ci n'était pas sale du tout. Il y avait certes quelques traces de verres et de tasses de café, mais rien de très apparent. Par contre, pour une femme comme Andrea, c'était foudroyant! En soulevant une soucoupe pour la placer dans un évier derrière elle, elle entendit une petite voix qui semblait lui poser une question. Il s'agissait d'Éloïse, et cette dernière souhaitait savoir si le jeune homme dont la gérante avait fait mention avant le début de la soirée était arrivé. Scrutant la salle d'un oeil de lynx, elle constata qu'il n'était pas encore arrivé. Pour ne pas décevoir la jolie serveuse, elle lui dit avec un sourire:

- Non, il n'est pas encore arrivé. Mais ne t'en fais pas, la soirée est encore bien jeune!

Elle lui fit un clin d'oeil pour lui signifier qu'elle croyait ce qu'elle venait de dire puis rinça rapidement la soucoupe qu'elle tenait toujours dans une main. Voyant que son employée avait l'air exténuée, Andrea lui sourit à nouveau en disant:

- Tu peux prendre une pause si tu veux, je te ferai signe s'il arrive!

[EDIT D'AMANDA TIWOLD: Si mes souvenirs ne me font pas défaut, la seule boison autorisée comportant de l'alcool à cette époque était une bière ayant un pourcentage d'alcool de 0,05% d'alcool. Voilà pour le renseignement.]

(Et bien merci! Je suis navrée de cette erreur, j'étais sûre qu'il y avait des boissons alcoolisées à l'époque... D'accord, bon je vais corrigier mon poste! )

Éloise ne put réprimer un etit cris de joie. En plus d'avoir la confirmation que le garçon allait sûrement venir, elle avait droit à une pause. Décidément, sa patronne était un ange!

-Oh merci! Je ne sais comment vous remerciez... Bon alors, je vais prendre un peu d'air dehors si cela ne dérange pas... Je reste sur le pas de la porte, question de ne pas m'éloigner, promis je ne resterai pas bien longtemps! Je sais qu'on ne manque pas de travail, mais merci encore... Merci beaucoup.

Malgré la fatigue, elle sourie à la gérante. Un vrai sourire. Malgré la fatifue, elle se sentait de nouveau remplit d'un petit peu d'énergie.

*Pour le temps que ça dure, profitons-en! ^^ *

Elle laissa ensuite la gérante à cette concrète tâche. Elle était perfectionniste pour sûre, mais cela ne l'empêchait pas de voir les efforts que fournissait ses employés contrairement à d'autres patrons. Certes, ce petit job était son premier et elle désirait le garder... Elle n'avait pas le choix. ce maigre salaire était bien peu, mais sans lui, elle et sa mère ne pourraient certainement pas passer au travers de ce rude hiver.

Elle mit son manteau et ses petites bottes, regarda une dernière fois la gérante en souriant, puis poussa la porte, la referma derrière elle puis s'accota finalement sur celle ci, poussant un soupir d'apaisement. Que cela fesait du bien de souffler un peu. Et puis, même d'ici, elle pouvait entendre le chant et la mélodie du spectacle.

*Décidéent, c'est une bien belle soirée... *

[HJ : Je crois qu'il va falloir finir tout ça un peu en queue de poisson car le commissaire ne fait pas mine de revenir, pour l'instant. ]



Alors que certains clients poursuivaient des conversations plus ou moins animées, Matou continuait de chanter cet air un peu triste. Mais si certains étaient absorbés par leurs discussions, ce n'était pas le cas de tout le monde...



Alors que Matou finissait sur une note longue, elle constata qu'Andrea semblait totalement absorbée par le spectacle. La jeune chanteuse lui adressa un large sourire.

[HJ : Pardon si c'est un peu léger : comme il ne se passe rien, je ne peux que faire chanter Matou pour faire avancer le schmilblik.-_-"]

(Bon très bien, à nous d'essayer que tout cela ne finisse pas autant en queue de poisson comme tu le dis si bien matou >.<)

Éloise regarda le ciel étoilé. Elle sourit tristement. Le garçon que Andréa lui avait dit qui allait probablement faire un petit tour n'avait pas montré le moindre signe de vie. Dommage...

Elle poussa un soupir. En plus il ne restait pas beaucoup de temps à la jeune chanteuse.C'était encore plus dommage car elle chantait bien. Elle vit un homme sortir du café et s'aventurer dans les rues.

'Encore un autre... Bon et bien bonsoir monsieur!'

Celui-ci ne parut pas lui répondre, peut-être ne l'avait-il pas entendue ou bien l'avait-il tout simplement ignoré?
Elle regarda par la fenêtre du café pour voir MAtou chanter sur scène, elle ne put réprimer un regard d'envie. Elle, elle aurait tant aimé monter sur scène, chnater, danser, jouer du théâtre... Malheureusement, elle devrait se contenter de regarder.

Elle accota son dos contre le mur pour s,asseoir en petite boule et poser la tête sur ses bras. Elle fermit les yeux et se laissa bercer par cette douce mélodie, à vrai dire, elle profitait de ce moment de trnaquilité pour enfin pouvoir souffler un peu... Elle trvaillait toujours... Soit ici au café, ou soit à la maison pour prendre soin de sa mère.

(Navrée, je sais que sa n'avance à rien l'histoire, mais j,ai sincèrement aucune inspiration pour faire avancer quelque chose sans être gourde ^^' Pardonnez moi! >,< )

[Tout le monde avait en somme plus ou moins passer une bonne soirée dans le café, bercer par la mélodieuse voix de Matou, la vedette de la soirée. Car malgré tout les problèmes avec lequels chaqu'un est entré au St James, personne n'a put dire qu'il n'en ressortait pas plus léger...
La soirée se termina donc assez bien après la représentation. Et la majorité rentrèrent cher eux directement ou firent un petit détour juste avant...]