[L'hôtel de ville] L'hôtel de ville, et l'hôtel en face

Le bruit de crevaison avait fait sursauter tout le monde. Mais le chauffeur de la voiture de l’homme sorti dehors, regarda les dégâts engendrés et il alla s’excuser bien bas devant votre cible.
Puis il repartit vers la voiture, pour en sortir la roue de secours et commençait à la changer. Défaisant le roue crevé de son emplacement, pour la remplacer par l’autre en bon état de marche.

Pendant ce temps l’homme à abattre discuter tranquillement avec la femme et son fils. Il ne semblait pas très pressée et attendait patiemment dans cette bonne humeur qui paraissait ressortir de leur petit groupe, que le chauffeur change la roue...

Au bout d'un moment, pendant qu'il vit l'homme à abbatre parler tranquillement avec sa famille, il s'énerva. Il voulut lui placer une balle en plein dans le crâne, mais l'assasinat doit être discret... il descendit alors du bâtiment, et se mit dans la rue en s'approchant de l'homme. Il avait pris un chapeau et une moustache qu'il dissimulait dans sa mallette qui le rendait méconnaisable même à sa soeur. Il s'approcha de l'homme et dit

"Excusez moi, Mr. Mike Derding, mais je n'ai pas pris rendez-vous.... voyez-vous je suis taxi et j'ai besoin d'un rendez-vous pour ma maison... il y a une très grosse fuite dans le mur de la cave, et ce n'est pas sous ma juridiction voyez vous, donc j'aimerais avoir un rendez vous maintenant, ne vous inquiétez aps, c'est jsute le temps que je vous montre les photos et compagnie dans votre bureau, et c'est fini. Je vous en prie, ma maison se remplit de plus en plus chaque jour, et la ça devient invivable!"

[hrp: disons nous qu'il fait dans l'infrastructure ok?]

Il écouta la demande de l’homme qui venait de l’aborder à l’instant, puis il regarda en direction de son chauffeur tout en lui demandant :

" Tu en as encore pour combien de temps Carl ? "

Et celui-ci répondit en relevant légèrement la tête de son travail pour regarder son patron de l’autre côté de la voiture, tout en se grattant la tête et dans un air de réflexion.

" J’pense que dans cinq minutes ça devrait être fini M’sieur... "

Il se retourna vers l’inconnu, tout en déposant son fils à même le sol. Et lui répondit chaleureusement.

" Vous avez entendu, nous avons cinq minutes, j’espère que ça sera suffisant. Veuillez me suivre, nous allons voir ça. Et prendre ainsi rendez-vous pour une autre fois, ou je serais plus libre de vous répondre. "

Il repartit vers l’entré de l’hôtel de ville, pour voir avec vous ce que vous vouliez lui montrer...

"D'accord, allons dans votre bureau"

Il embarqua la mallette, contenant alors des plans de l'hôtel et autres papiers inutiles, et au fond caché le berretta équipé de son silentieux. Il regarda les futurs veufs une fois, et se tourna vers le batiment. Il rentra dans le hall qu'il avait vu tout à l'heure et suivit l'homme qui le monta dans un bureau. Il rentrèrent, et il posa sa mallette de telle sorte, à quand ce qu'il sortit son berreta il tire et que la balle ne ressorte pas, et de deux si elle ressortait elle atterrirait contre un mur. Il dit alors:

"Donc, comme je vous le disait en bas, il y a une fuite dans ma cave, donnant vers la rue. Donc, attendez je vous montre une photo..."

Il ouvrir alors la malette, et plongea sa main à l'intérieur...

[J'espère ne pas avoir été trop brusque, mais comme j'ai bientôt fini...]

[Bien au contraire, tu aurais même put en finir...]

Après son entré dans l’hôtel de ville, il amena l’homme dans son bureau. L’endroit le mieux adapté pour discuter de ce genre de chose.
Arrivé sur place, il laissa entrer l’homme avant de refermer la porte derrière lui. Puis il s’avança vers son bureau, au cas où il aurait à prendre quelques notes sur ce qu’ils se seraient dit au court de la discussion.

Il écouta l’homme refaire sa demande et attendit patiemment que celui-ci ouvre sa mallette pour lui montrer les preuves qu’il avançait sur les dégradations énoncées.

" Eh Bien ! Montrez-moi ça, nous verrons ainsi, si nous avons à prendre un autre rendez-vous, pour discuter plus amplement sur votre demande. "

Il tendit la main, prêt à recevoir les preuves...

Et il sortit alors son beretta. Avec un geste presque devenu réflexe, il tendit l'arme droit sur la tête de l'homme venant à peine d'ouvrir la bouche, et il pressa une bonne fois pour toute, sur la détente.
La balle sortit du canon, puis avec une vitesse incroyable perça la boite crânienne pour toucher le cerveau, mais ne voyant aucun éclat de sang derrière, il se dit qu'il avait bien calculé sa distance de tir mentalement en rentrant dans la pièce.
Mais combien de fois a t'il dut se poser des questions sur la réussite d'une telle action ? Des centaines.
Et pourtant, tout n'était pas parfait. En retombant, il tituba et tomba sur son bureau en verre, ce qu'il lui fit une frousse bleue. Mais dieu soit loué, il tomba doucement, et glissa en dessous du bureau sans un bruit.

Maintenant, direction la sortie. Il ouvrit la porte, et demanda les toilettes. Il rentra, jeta sa casquette et sa moustache, et partit. Il descendit dans le hall, puis il réfléchit. Le petit... Il le reconnaîtrait. Il prit alors un journal, et sortit avec le journal sur la face. Il bifurqua à la première rue, en entendant les policiers débouler dans la rue.

[Là, on peut pas dire: tout est bien qui finit bien.]

[La suite dans: Pressée]