[Les maisons] Rencontre privée

Akami était pressée elle. Arriva devant une maison très grande et belle. On pourrait la comparer à une villa. Elle sonna et un majeur d'homme arriva alla grille et lui la fit entraidant la première cour. Elle monta les escaliers devancés par le majeur d'homme. Il lui ouvrit la porte d'entrée. A ce moment la il lui prit son manteau elle remarqua alors que sa belle robe était tachée.

*zut, alla et je m'en rend compte que quand j'arrive chez mon client. Vraiment qu'elle gourde.*

Le majeur revient et lui demande d'attendre dans le petit salon. Il lui ouvrit la porte. Et elle rentra et s'assit sur un des sofas attendant son client.

*qu'elle journée. Ce journaliste puis ayelen en morceau et ce flic! Vraiment se n'est pas ma journée et le client d'hier soir quelle catastrophe.*

L'homme tapota l'extremité de son stylo sur le bois du bureau, agaçé. Les sourcils froncés et l'air contrarié, il relisait le document devant lui pour la troisième fois consécutive, et le creux entre ses sourcils froncés s'accentua encore. Ce fut donc avec une certaine humeur qu'il répondit brusquement d'entrer lorsqu'on frappa à sa porte, laquelle s'ouvrit sur le majordome qui, prudent, passa d'abord la tête dans l'entrebaillement avant de se montrer tout entier.

- M. Wilson, Mlle Cho est arrivée.

Surpris, le Maire jetta un coup d'oeil à sa montre et écarpilla les yeux. Déjà? Le temps était passé vite, ce dossier, aussi frustrant soit t'il, l'avait tant captiver qu'il n'avait pas vu le temps passé. Il hésita quelques secondes sur la réponse à donner au majordome, avant de soupirer et d'incliner évasivement la tête:

- Faites la entrer, je vous prie.

L'homme hocha la tête en guise d'acquieçement et de salut poli, et referma la porte.
Shawn soupira de nouveau, passant sa main forte et carrée dans ses cheveux blonds repoussés en arrière, le décoiffant legerement. Il jeta un dernier coup d'oeil à la feuille devant lui, et la poussa sur le côté. Il aviserait, parfois ne plus penser à quelque chose faisait venir les idées et les solutions d'une manière plus efficace que se torturer dessus, l'esprit s'en sortirait peut-être mieux que l'intellect.
Il releva la tête lorsque l'on frappa de nouveau à la porte, et se leva courtoisement quand la jeune femme apparut. Elle s'inclina avec politesse, et il se contenta d'hocher la tête.

- Mlle Cho, vous êtes ravissante. Comme toujours.
- Je vous remercie. Vous avez l'air très fatigué, M. Wilson, des soucis?
- Rien qui ne vous concerne, j'en ai bien peur. Mais asseyez vous donc, vous désirez boire quelque chose?

Elle s'assit confortablement et dit:

"_biensur vous connaissez ma boisson préfet!
_biensur se sera deux verre alors!"

Il sorti un bouteille (pas besoin de dire ce que c'est) qu'il avait caché dans derrière sa bibliothèque.

Elle cachait de son mieux la tache de sang qui il y avait sur sa robe. Elle détacha ses cheveux et s'aperçu qu'elle avait perdu son peigne. Cela n'était pas grave mais elle l'aimé bien.
Il lui servit un verre qu'elle prit avec délicatesse. Elle n'arrêté pas de le regarder. Elle croisa les jambes sensuellement.

"Racontez moi vos problèmes? Je suis aussi la pour ça!"

Elle fit un clin d'œil et elle sourie.

Le Maire sourit poliment en s'assoyant à son tour, posant son verre sur une petite table entre eux deux sans y toucher.

- Vous êtes charmante, Mlle Cho, et je suis désolé de vous causer du soucis: ces affaires me concernent, et je ne serais pas un bon Maire que de les divulguer à un unique citoyen privilégié, aussi attrayant soit t'il, n'est ce pas?

Il se cala sur le dossier de son siège et croisa ses doigts devant lui, attentif à rester aimable. En vérité, il n'était pas d'humeur à profiter de la compagnie d'une femme mais cette conversation lui permettait de se changer les idées.

"Je suis d'accord, ce comportement fait de vous un bon maire."

Elle devint plus sérieuse et le regarda droit dans les yeux.


"J’ai besoin d'un service de votre par. On va dire que je n'apprécie pas un policier un peut trop curieux. Il est nouveau ici et il n'a pas comprit qu'il doit laisser certain criminel tranquille. Je voulais savoir si vous pouviez lui mettre des bâtons dans les roues. Vous me devez bien ça!"

Elle faisait tourner la boisson dans son verre en attendent la réponse.

*tu vas me le payer Clyde d'avoir fait du mal à ayelen.*

Le Maire regarda pensivement la femme devant lui, restant silencieux en réflechissant à ce qu'il devait lui répondre. Il n'avait pas specialement envie de se montrer ouvertement autoritaire et injuste en public: les policiers ne relevaient pas de sa juridiction et il n'aurait sans doute pas beaucoup d'autres choix que d'agir par pressions et par relations. Envoyer un policier sur les roses n'était pas dur, bien sur, mais était en revanche ssez délicat s'il désirait garder sa crédibilité. Du reste, mis à part quelques nuits agréables pour lesquelles il payait déjà sufisamment, il ne devait rien à la femme assise devant lui, et n'avait pas pour elle un attachement particulier.
Il posa la tête sur le revers de sa main, et l'incita à poursuivre toutefois:

- Nommez les personnes par leurs noms et les faits tels qu'ils sont, que je puisse me faire une idée plus préçise.

"Vous savez que je ne supporte pas que l'on approche ma protégée depuis le temps et cet homme du nom de Clyde je ne sais plus quoi, l'a approché de trop près. J’ai appris d’un de mes informateurs qu'elle lui avait sauvé la vie en le sortant de la voiture. Sachez qu'elle n'avait jamais fait ça pour personne. Et ne me dites pas qu'elle avait des remords, elle n'en a jamais eu. Bref je veux que cet homme souffre mais soyez prudent il est très attentif une fausse manœuvre et vous êtes fichu. Et je n'aimerais pas perdre un de mes clients les plus réguliers."

Elle avait un petit sourire un peu coquin.

*surtout qu'il me paye bien et qu'il n'est pas trop violent.*

Elle se leva et alla vers lui. Elle lui souleva le menton et le regarda dans les yeux. Et dit:

"Dite moi, je ne suis pas venu chez vous pour raconter ma vie qui ne vous intéresse pas. Alors pour vous faire oublier vos soucis vous êtes ou bien trop fatigué, ou impuissant, cela peut arriver"

Là elle le cherchait mais il était trop imprévisible pour qu'elle arrive a connaître le fond de ses pensées.

Shawn resta silencieux plusieurs secondes, d'un silence qu'il savait insupportable, mais necesaaire. Posement, il se degagea en se relevant, repris son verre et après avoir fait legerement tourné le liquide dans son recipient, en but. Tranquillement, il se lecha le bord des lèvres, et reposa le verre.

- Le fait que vous vous ecartiez du problème ne le rendra pas moins délicat, et je ne peux pas vous donner de réponses immediate: L'empressement est stupide pour des affaires si importantes. Quand à notre autre affaire, ma foi, je dois avouer que toute aussi seduisante que vous soyez, vos charmes n'ont ce soir que peu d'attractions.

Le Maire eut un sourire indulgent lorsque la jeune femme parla de se venger, mais ne répliqua pas. Tranquillement, il la laissa se rasseoir à sa place et boire son verre d'une moue boudeuse. Hargneusement, elle cracha quelques ordres plus ou moins déguisés, son accent venant hacher ses mots.

- Ma chère, je pense que vous n'êtes plus en état d'avoir une discussion des plus réfléchies: boire n'est peut-être pas pour vous une très bonne muse. J'aviserai pour votre "Clyde", mais ne vous attendez pas à me voir vous obéir sans penser. Je serai honoré de vous être agréable, pas de risquer ma propre place. Et si je vous ait vexée en dédaignant vos charmes je vous présente mes excuses: ils ne changent pas, disons que je ne suis pas d'humeur.

"Puis que c'est comme ça je peux vous empreinte votre douche car cela sera plus agréable pour mon prochain client sachant que ma journée a était mouvementé. Je tiens à l'alcool monsieur! Mais ma jalousie na pas de limite."

*bien ça c'est fait! maintenent il faut que je me cahange et que je me douche cette tache de sang commence à m'énerver.*

Elle posa son verre et laissa son sac sur le canapé ou elle était assise. Elle se détacha les cheveux et posa ses affaires. puis elle ouvrit son sac et en sorti une belle robe. avec des froufrous et bien décoltée.

"Vous n'allez quand même pas me refuser une douche!?"

Incroyable tout ce que le sac d'une dame pouvait contenir: réellement impressionant.

- Je vous en prie, répondit t'il vagueument, vous conaissez le chemin ou vous désirez mon assistance? continua t'il avec un sourire entendu.

(EDIT D'AMANDA TIWOLD: J'espère ne plus revoir de message aussi court, c'est 5 lignes et non moins.)

"Votre aide me serait d'un grand secours. Votre maison est grande, je ne veux pas me perdre. Ou votre majordome peut me guidé si vous avez encore du travail!"

Elle souri et se dirigea ver la porte avec beaucoup d'élégance. Tenant dans ses bras toutes ses affaire pour se changer.

*bon je vais pouvoir allez voir un autre client c'est parfait. la journée se fini bien en faite!*

- Non, j'ai fini pour la journée, il est déjà tard, soupira t'il en se levant: suivez-moi je vous prie.

Il la dépassa et ouvrit la porte, qu'il lui tint galamment pour la laisser passer avant de la guider à travers les couloirs. Ils traversèrent un couloir avant d'arriver à une salle de bain spacieuse, qu'il désigna d'un geste de la main.

- Vous me rejoindrez ensuite dans mon bureau, que nous discutions de votre affaire.

"bien sur. alors a tout a l'heure."

elle ferma la porte et commenàça a se désabiller. elle aluma l'eau et attendit qu'elle chauffe. une foi a la bonne Température elle rentra dans se que l'on peux appeler une baignoire. Elle mit sa tête sous le jet d'eau. Et ferma les yeux.

*ayelen ou es tu! J’ai peur pour toi. Je ferais tout pour que tu sois heureuse! Mais pourquoi tu ne me rends pas l’à pareil? Tu me détestes?*

Quelque instant. Puis elle se recula pour se passer un peux de savon sur le corps. Puis elle commença à démêler ses longs cheveux avec une petite brosse. Une foi tout cela terminer elle sorti les la baignoire se sécha et éteignit l'eau. Elle prit une serviette et se sécha. Une foi tout cela terminé elle s'habilla et se remaquilla. Puis trouva une nouvelle coiffure. Elle sorti de la salle de bain et alla dans le bureau.

"me revoila!"

Shawn releva les yeux du dossier qui le turlupinait pour voir la femme entrer et refermer la porte derrière elle. Il retourna sans un mot à ses papiers qu'il parcourut une nouvelle fois et, avec un soupir, les signa et les rangea dans un des tiroirs de son bureau.

- C'est entendu pour votre affaire, annonca t'il simplement, je tâcherai de voir ce que je peux faire -s'il y a quelque chose à faire tout du moins. Quant à vous, tâchez de vous faire discrète sur la question si possible.

Il rabattit une mèche de ses cheveux blonds en arrière et, avec un sourire railleur, acheva:

- Un service en valant bien un autre, je considère que vous avez une dette envers moi: cela ne pose pas de problèmes, n'est ce pas?

"Voyons, aucun problèmes! Du moment que c'est notre maire qui me le demandera!"

Dit elle d'un air ironique. elle avait sorti un éventail (il y avait des desin japonais dessu)et cacha sa bouche. ell avait un regard profond et battait vonlontairement des cils.

"Bon comme vous n'êtes pas d'humeur. Fixons nous un autre rendez vous!"

Elle rangea soigneusement ses affaires et s'approcha de Shawn et l'embrassa sur la bouche tout en lui tenant le menton dela main droite. il ne pouvait refuser se baisé deplus la plu par du temps ils coutent cher.

*une bonne chose de faite*

Le sourire du Maire s'accentua lorsque la japonaise battit exagerement des cils, cachant la moitié de son visage derrière son éventail. Il conaissait "Mlle Cho" depuis un certain temps maintenant et elle était la seule présence féminine qu'il s'autorisait dans cette ville -et à laquelle il faisait d'ailleurs particulièrement attention.
Bien que chère, elle avait le mérite d'être discrète et de ne pas ébruiter la liste de ses clients (ce qui, dans son cas, l'arrangeait).

- Disons alors que c'est une affaire convenu, concluat t'il.

Il la regarda ranger ses affaires d'un oeil distrait, songeant vaguement à ce qu'il devrait faire si, à son tour, cette femme devenait trop... présente.

- ...Fixons nous un autre rendez-vous.

Il releva la tête vers la femme qui s'approcha (dangereusement) de lui, lui saisit le menton et l'embrassa. Il posa sa main à l'arrière de sa nuque et la retint quand elle tâcha de se dégager, prolongeant le baiser de quelques secondes avant de la laisser aller:

- Je n'étais pas d'humeur, ne me faites pas changer d'avis..

Il se releva sans lui répondre et se dirigea vers la fenêtre à travers de laquelle il regarda furtivement, silencieux. Enfin, il se retourna vers elle, quittant son expression grave pour un nouveau sourire legerement crispé.

- Vous avez fait attention à ne pas vous faire suivre? demanda t'il poliment. Nos "rendez-vous" ne sont pas ma meilleure publicité, c'est pour cela que je vous demande de vous faire particulièrement discrète - et l'état de votre précédente robe n'était pas la preuve la plus fraglante de votre efficacité en la matière.

Il se rassit, le visage dur.

- Si un quelquonque incident devait vous arriver, il est entendu que je ne vous porterai assistance que si cela ne me porte pas atteinte: Ne pensez-pas avoir une plus grande emprise sur moi que vous ne l'avez réellement.

Il tourna la tête vers la fenêtre de nouveau, entremêlant ses doigts sans prendre plus garde à la prostituée.

- Cette ville contient de plus en plus d'éléments perturbateurs qui n'ont pas leur place ici...

*bien esquivé*

"Personne ne m'a suivit je bien trop prudente. Je suis une femme de qualité, qui aime faire l'amour personne n'osera me faire du mal. Et puis j'ai un atout dans ma manche. L’état de ma robe ne regarde que moi, je dois avouer que je l’aimais bien. Je ne suis pas une femme discrète mais le secret professionnel me fait garder n’importe quel secret."

Elle n’aimait vraiment pas quand il prenait un air sérieux et dur. Elle fit ma moue.

"C’est mon protecteur, il est assez puissant pour tuer tout les nuisible.
Si on découvre notre relation je ne dirait mot ni pour vous aidez ni pour faire tomber. Je me doute bien que vous êtes un homme indépendant. Mais vous ne pouviez nier ma présence à vos côtés. De l'influence j'en suis pour beaucoup d'homme, puissant."

Il ne la regardait plus. Comment osait il. Elle se calma.

"Sachez que ces éléments perturbateurs vous ont fait gagner les élections. Vous êtes aussi corrompu que les gens de cette ville."

Elle s'approcha de lui et se plaça derrière lui. Elle l'enlaça et lui glissa quelque mot à l'oreille.

"Ne me dite que vous voulez faire de cette ville un paradis? Le plus par des gens de cette ville vive un enfer."

"Vous êtes d'un cruel réalisme ma chère, et bien désagréable... Je vous téléphonerai pour un prochain rendez-vous, mes dates varient et les votres aussi, j'imagine. Nous aurons peut-être le plaisir de nous revoir à la vente aux enchères, dans ces cas çi. En attendant, je vais sortir en ville : que diriez vous de m'accompagner, en attendant votre prochain rendez-vous? Il fait meilleur dehors que l'air confiné de l'interieur..."

Il se leva et fit appeler le majordome.

"Oh, et mes excuses si j'ai froissé votre dignité, nous savons l'un comme l'autre que vous êtes dans le juste, comme toujours, à tel point que cela en devient parfois un peu agaçant, je dois dire, il faut m'excuser mes sautes d'humeurs" acheva t'il en un sourire poli.

[La suite dans: Dans les ruelles de Kanst]

"Et bien j'accepte de vous accompagner. Je préfère quand même la chaleur que ce froid glacial. Vous avez un rendez vous pour vouloir sortir à cette heure là?"

Elle prit ses affaire elle était prête à partir de tout façon.
Elle avait un rendez vous important, enfin elle allai peu être enfin pouvoir s’amuser sans violence elle avait encore le souvenir de la nuit passé avec un barbar. Se lui donnait des frissons. Elle était fière d’elle mais aurait quand même aimé s’amuser un peu avec Shawn. Elle fit la mou un instant puis s’arrêta. Elle prix un visage noble.

"Bien allons y!"

[La suite dans: Dans les ruelles de Kanst]