[Les maisons] Main

Elle courait le plus vite qu'elle pouvait, sans s’arrêter. Il fallait qu'elle trouve la famille de cet homme. Elle savait que la police ne tarderait pas car chaque personne qui croisait son regard elle le tuait. Il n'y avait qu’à suivre les cadavres sur le sol. Elle ne savait où il habitait, mais on ne sait jamais.
La chance lui sourit, elle reconnu la mère et la petite fille. Laquelle des 2. Elle se stoppa pour réfléchir. La mère, car elle avait déjà bien vécu avec ses mains.
Elle s'approcha d'elles. mais, vu deux hommes qui les suivaient, des flics. Il fallait quand même intervenir.

Ayelen:"Bien le bonjour. Je vous annonce un mauvaise nouvelle votre marie vient de mettre vos vies sur mon jeux d’échec."

femme:"Vous êtes folle!! Mon marie? Vous lui aviez fait du mal?"

_"Non, mais je compte sur vous pour le faire changer d'avis et déclarer forfait."

_"Comment!!! Vous êtes folle?"

_ "Pas autant que vous. Car vous venez de m'insulter et face à votre enfant je vais vous priver de quelque chose à laquelle vous tenez."

Ils étaient plusieurs, ils couraient vers les femmes.
Elle sorti un couteau attrapa la mains de la femme et la coupa pour montrer qu'elle ne rigolais pas. La femme hurla. Un homme arriva derrière Ayelen et l'immobilisa.

"Un conseille ne faites pas ça."

La petite pleurait de peur. Héla, le couteau n'avait pas coupé l'os, elle donna un coup bas, l'homme la lacha. elle sortie alors son colt et tira sur la main coupé. Celle-ci fut déchiquetée. Ayelen se mit à courir en voyant les hommes lui foncer dessus.

"C’est le prit à payer pour que les hommes comprennent qu'il ne sont rien face à la volonté de dieu. Je reviendrais, si votre mari n'a toujours pas changé d'avis, la reine tuera le petit pion sans défense."

Dit elle toujours en courant.
Les hommes se jetèrent sur elle. elle se débatait.Elle entendit une voiture arriver, elle se débatait de toutes ses forces, elle se fit désarmer.

les hommes:_"Vous ne vous en tirerait pas comme ça!!!!"
_"Je veux voire ça."

*Vite je vais me faire avoir.*

Un homme lui tira à bout portant dans le bras pour qu'elle se calme.
"HHHHHHHHHHHaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa!!!!!!"

[Merci]
"Lâchez moi, lâchez moi! Haaaaa!! Faite attention. Haaaaaa. Attention a mon épaule."

*zute je me suit fait avoir bon. Comme cela est dommage. J’ai mal cette bale ma transpercé le bras. C’est un homme mort ce mec qui m'a tiré dessus.*

C’est homme la touchaient. Comment osaient ils. Elle se débâté même avec cette horrible douleur qui lui traversait le bras. Quand Clyde la maîtrisa elle n'avait déjà plus de force pour riposter mais se n'était pas l'envie qui manqué.

"Lâchez moi... lâchez moi..."

Le sang coulait, comme elle n'avait pas encore récupéré pour son ancienne blessure. Elle se laissa faire, pour ne pas aggraver son état physique et rester consciente le plus longtemps possible.

les hommes la prirent par les bras:
c'est bon lâchez moi.
elle rentra dans la voitura tout en regardant dans les yeux le médecin. elle lui fit un sourire qui voulait tout dire.
un foi assise dans la voiture les hommes se mirent de chaque côté.

*je ne peux pas fuir avec ma blessure mais je vais leur en faire baver.*

discrètement elle regarda ou les hommes avaient mis leurs menottes. ouf elle étaient à sa portée. elle les prit discrètement.
elle essaya de le libéré les homme pour la calmé reprochèrent leur mains des siennes et lui attrapèrent les épaule.

*aie, j'adore comment les flics traitent les tueurs blessés. allez courage.*

elle eu le temps attacher les 2 hommes à ses propres menottes. mais ils le remarquèrent. et un des hommes lui donna un coup dans sa blessure.

"aie vous allez me le payer. vous avez de la chance je suis plutôt souple."

elle se tourna vers le flic et essaya de lui envoyer ses pieds dans la figure. l'autre flic essayé de la mobiliser mais il n'était pas dans un position très confortable.

"je vais te faire souffrir pour m'avoir toucher"

les deux hommes essayèrentt tant bien que mal de la calmer. l'homme maîtrisa ses jambes et les remirent à leur place initial. elle tenta un dernier turc. elle essaya de d'attraper les clés des menottes mais elle ne réussie cas activer le clac sonne.

*merde*

un des hommes fatigué de lutter l'assomma.

[EDIT D'AMANDA TIWOLD: Es-ce que des fois tu te relis ? Car, ce n’est pas très compréhensible...(il faut te décripter)]
[toute mes ecuses je ne les pas dit, je suis disorthographique(pour ceux qui ne savent pas ce que c'est): je confond les sons et j'ai des difficulté à organisermes phrases. toute mes escuse]

[Oups, vous voulez peut-être que je continue à vous donner le change. Donc, où en étions-nous ?]

Le médecin, arriver sur place, se précipita vers sa femme et sa fille. Voyant la blessure de sa femme, son côté mari se révolta contre cette femme ignoble, mais son côté médecin reprit le déçu, comme toujours dans ce genre de situation.
Donc, il fit avec sa veste de médecin qu’il avait encore sur le dos, un garrot, pour éviter à sa femme de perdre trop de sang. Puis il avait foncé cher lui, pour aller prendre sa trousse de secours. Revenant auprès de sa femme, il commença à lui appliquer les premiers soins, mais il ne fallait pas tarder à l’amener à l’hôpital.

" Mais qu’es-ce que vous foutez ? " Dit-il à l’intention des flics qui regardaient sans bouger le petit doigt. " Allez, appeler la clinique, qu’il envoie une ambulance. "

Puis revenant à sa femme pour la rassurer.

" Ne t’inquiète pas, je vais te sauver. "

C’est à ce moment que la voiture où l’on avait enfermé cette folle se mit à faire un sacré bouquant, faisant accourir le fils aîné du médecin ainsi que d’autres policiers qui le suivait vers le tableau que formait les trois premiers membres de cette famille.
Mais le bruit ne tarda pas à s’éteindre après que Ayelen fut assommé. Laissant la famille du médecin se retrouver dans une scène, qui était loin d’être des plus joyeuse.

Il se retourna enfin vers Clyde et lui lança sur un ton de reproche amer:

" Vous m’aviez assuré qu’il ne leur arriverait rien ? "

Clyde raccrocha le combiné du téléphone dès qu'il eut fini d'appeler la clinique. [HJ : Eh oui, j'ai bien dit plus haut que je téléphonais à l'hôpital!^^] Il se tourna vers le médecin avant de passer son second coup de fil. Clyde était pâle, mais calme. Ses émotions ne transparaissaient pas sur son visage, même s'il se sentait coupable de ce qui venait d'arriver à la femme du médecin.
Il répondit d'une voix calme et posé aux accusations de l'homme, qui avait eu un rôle exemplaire jusque là.

"Je vous ai assurer que je ferais tout pour qu'ilne leur arrive rien, pour être plus précis.
Mais je vous en prie, gardez votre calme! Votre famille ne sera hors de danger que lorsque tout ceci sera fini. Je ne pense pas que Blood ai agit d'elle-même. Vos ennemis sont encore en liberté.
Votre courage a été exemplaire face à Blood, si possible, gardez toujours votre calme à l'avenir."

Cela ressemblait plus à une requète polie qu'à un ordre. Clyde considéra que le sujet était clos et se retourna pour appeler des renforts au poste de police pour escorter la famille du médecin jusqu'à la clinique.

[Oui, mais dans l‘état à moitié de panique dans lequel il se trouve, c‘est normal qu‘il n‘arrivait pas à faire attention à autre chose qu‘à sa femme.]

Il était de plus en plus énerver après les paroles du lieutenant, il ne pouvait vraiment pas garder son calme face à une telle situation.

" On m’a déjà dit qu’il ne leur arriverait rien quand tout a commencé, et vous voyez le résultat de vos dires aujourd‘hui. "

Il avait indiqué d’un mouvement de tête sa famille. Quel tableau! Un mari tenant sa femme blessée dans ses bras et ses enfants effondraient, en pleure près de leur mère.

" Quand tout sera fini, vous en avez de bonne, ça ne finira jamais si on regarde comment c’est déjà parti... "

Il était prêt à continuer encore longtemps comme ça, et c’était assez normal, il fallait le comprendre, mais sa femme l‘interrompit en tirant de sa main encore valide la chemise de son mari. Ce qui lui fit tournait la tête vers elle, plongeant son regard dans le sien.

" Arrête,... Je t’en supplie, ne l’accable pas,... Ce n’est pas de sa faute... "

Les douces paroles de sa femme eurent leur effet et il ne dit plus rien, fermant les yeux pour s’empêcher de verser une larme devant ses enfants.

[C‘est pas grave, je n‘ai pas été très clair. Euh... Je continue encore un peu ou non. Allez, c‘est reparti.]

Le médecin lui, était parti dans l’ambulance avec toute sa famille. Il n’avait rien ajouté à la dernière phrase du lieutenant, il avait retrouvé une partie de son calme.

Vous, de votre côté avait reprit le volant de votre voiture pour le poste de police, mais y arriverez-vous dans les meilleures conditions ? J’en doute. Car peu de temps après votre départ de la maison du médecin, une des roues avant crève et vous fait perdre le contrôle du véhicule, pour vous faire finir votre course de plein fouet contre un lampadaire.

Le choque a assommé un des deux gardes de Ayelen, quant au deuxième, il est conscient mais bien secouer par l’accident.

Le choque avait était assez violent pur réveillé ayelen. Voyant que ses deux gardes étaient incapables de se défendre vu le choque, elle sorti de sa manche un couteau et ouvrit ses menottes.
L’homme qui n'était pas assommé essaya de la retenir. Mais bravant sa douleur au crâne et au bras elle le mit k.o. et sortit difficilement de la voiture.

*aie il ne l'ont pas raté.*

Elle regarda à l'avant le moteur avait l'aire endommagé et vu l'état du conducteur elle savait qu'elle pourra fuir tranquillement, même blessé. Elle se retourna. Mais elle se dit

*non je ne peux pas faire ça je me suis bien amusé et cette homme n'a pas finie de souffrir*

Elle fit demie tour et sorti Clyde de la voiture avec difficulté, pour le laissé gisant sur le trottoir. Puis elle parti en se tenant aux grilles des maisons.

*a une prochaine fois!! Je me suis bien amusé avec toi mais j'ai du travail à terminer!*un pause* en faite j'ai trop mal je vais chercher le violon.*

elle partie

[La suite dans: Violon]

Elle rentrait chez elle après sa dispute avec ayelen. Par chance un de ses informateur lui avait dis ou l'accident c'était passé. Donc elle y alla histoire de voir si ce qu'on lui avait raconté était vrai. Elle vit les deux flics par terre et l'autre conscient la haine monta en elle.

*quoi c'est cet homme! Cet homme qu'elle a sauvé. Il ne le mérite pas. Aucun homme de mérite d'être sauvé par ayelen. Qu’est ce qui lui plait chez lui il y a beaucoup mieux. Bon c'est a moi je jouer. Pas de chance pour toi. Tu es mon ennemi et tu aurais du resté inconscient.*

Elle courut vers lui d'un air affolé.

"Vous allez bien monsieur le Lieutenant de police?

*je ne sais même si cette phrase se dit dans cette langue. Mmmm... des cours de langue simpose. avec qui? ah je sais*

"Que c'est il passé? Vous saignez?"

c'était un femme bien vêtu et d'une grande élégance. mais elle était completement décoiffé.
*bien fait pour toi.*

(Comme je sais que ton perso est très attentif voila une partie qui peut l'intéresser)

Elle ouvrit son manteau pour y sortir en mouchoir. Mais elle n'avait pas remarqué que sa robe fût tachée de sang.

*pour quoi me demande t'il ça?*

"Oui bien sur je croit qu'il y en a une un peut plus haut. En faite vous vous appelez Clyde n'est ce pas? Moi akami cho. Pas besoin de vous dire quel est mon métier. Vous l'avez sûrement deviné. Que c'est il passait? Ces hommes se sont fait mal mené à ce que je vois."
Elle se recula méfiante. Cet homme avait quand même démasqué ayelen es son premier jour. Elle mourait d'envie de lui posait cet question qui la rongeais. Mais c'était se mettre en danger.

*combien de foi a t'il rencontré ayelen. De quoi ont t'ils parlés. A jalousie est un vilain défaut je sais*

Elle se mise à rire. par politesse elle mis la main devant la bouche. et fini par se calmer.

"Très franchement vous n'êtes pas prudent. Vous n'allez pas téléphoner? Venez je vais vous aidez, vous m'avez l'aire encore sous le choque."

*mais ayelen doit l'être aussi et je l'ai laissé seul mince que faire. Le choque a du être violent. Je suis inquiète maintenant*

Elle lui tendit la main pour qu'il puisse s'appuyer.

Clyde refusa la main d'Akami.

"C'est très gentil de votre part, mais je suis blessé à la tête, pas aux jambes!" dit-il en riant.

Mais son rire résonna dans sa tête et il fut de nouveau prit de nausées. Il dut à nouveau fermer les yeux, le temps que cela passe. Ce qui prit encore plus de temps que la dernière fois.

"Je ne téléphone pas parce je n'ai plus de petite monnaie. Mais j'ai là quelques billets, si vous voulez bien me faire de la monnaie..."

Cette fois, la douleur à la tête restait permanente et ne semblait pas décidée à partir.

"A il fallait le dire toute suite."

Elle lui tendit de la monnaie

"Pas besoin de me rembourser. Bien comme je vois que vous n'avez vraiment pas besoin de moi, je vais vous laissez. A une femme ne serais pas repassé ici. Elle a les cheveux marron et les yeux bleus, elle est habillée en noir. Et puis laissez tombé vous étiez a terre."

*elle n'est pas repassé ici mais ou est elle?*

elle regarda autour d'elle mais il n'y avait personne.

"en faite surveillez vos hommes ils sont inconcient. et les voleurs ce n'est pas se qui manque dans cette ville."

elle le regarda avec pitier.cet homme qu'elle le haissai plus que tout.

[La suite dans: Rencontre Privée]