[L'hôtel de ville] L'hôtel de ville, et l'hôtel en face

L’homme à abattre, venait d’arriver dans son bureau, suivit de deux autres personnes. Il ne semblait pas se douter une seconde du sort qui serait bientôt le sien.
Il s’assit à son bureau, dos à une des nombreuses fenêtres de l‘hôtel de ville, tout en continuant à discuter avec ses interlocuteurs.

Mais au même instant, la porte qui menait au toit claqua, ce qui vous empêcha de tirer, alors que la cible était parfaitement en place et que le coup aurait pu se finir rapidement.

Était-ce quelqu’un qui montait sur le toit ou bien aviez-vous mal fermé la porte et le vent c’était permit de la faire claquer ?

Un gangster!
Mais vous vous méprenez totalement, il ne s’agit en rien d’une telle personne, l’ombre vous a induit en erreur. Ce n’est qu’un gosse qui doit avoir à peine dans les dix ans.

Et qui était en train de s’amuser avec un avion en bois, le faisant virevolter dans tous les sens, tout en courant sur le toit. Mais que pouvait bien faire un mioche sur les toits de l’hôtel, quels parents pouvaient laisser son enfant jouer dans de tel lieu, alors qu’une mauvaise chute était si vite arrivé.

Puis, entre ses loopings plus ou moins réussi, il aperçut l‘arme. Intriguer par cet engin, qu‘il n‘avait jamais remarqué auparavant, il s’approcha de celle-ci...

Il se préparait à tirer, mais il eut le réflexe de regarder la partie métalique du fusil qui brillait: il reconnut alors le petit garçon... Il baissa son berretta et approcha du petit.

"Mais que fais-tu ici? Je m'occupe de réparer les ventilations, ne viens pas me déranger s'il te plait"

*La prochaine fois verrouille la porte andouille...*

Le mioche sursauta quand il entendit une voix. Il se retourna est vie Julius, mais son attention était tout entière sur l’arme, même s’il ne savait pas que s’en était une.

Sans avoir écouté un traître mot de ce que Julius lui avait dit, il le questionna à son tour.

" C’est un télescope ? Vous allez regarder les étoiles ce soir ? Mon père m’a dit qu’il m’en achèterait un pour mon anniversaire. Je peux regarder dedans ? Vous regarder quoi en plein jour ? On peut même voir les étoiles la journée ? "

Il était intrigué et passionné dans le ton de sa voix, on pouvait voire que c’était un de ses rêves d’enfant qui était en train de se réaliser. Il n’avait qu’une envie à ce moment, c’était que Julius lui autorise de regarder à travers ce qu’il croyait être un télescope...

Il se débattit légèrement quand Julius le prit par le bras, mais il n’avait pas envi d’abandonner aussi facilement la possibilité de regarder dans l‘engin.

Alors, quand il lui fit signe de dégager après l‘avoir relâché, il lui tira la langue avant d’ajouter ses quelques mots.

" Je m’en fous de ce que vous me dites, je vais allait dire à mon papa que vous voulez pas me laisser jouer avec votre télescope,... Na. "

Il ne voulait pas croire que ce n’était pas un télescope, mais sans se retourner, il prit la porte pour descendre dans les étages inférieurs. Allait-il réellement chercher son père ? Vous restez t’il assez de temps pour tirer ? Votre cible était-elle toujours à porter de vue dans son bureau ?

En regardant à travers la lunette, vous remarquez qu’il ne vous est plus possible de toucher votre cible, quelqu’un vous bloque la vue. Environ cinq minutes passe sans qu’une ouverture se présente.

Puis ses hommes qui étaient concentré sur leur discussion, relève subitement la tête vers la porte, une nouvelle personne rentre dans le bureau. Qui es-ce ?
Et bien le mioche qui vous enquiquinait tout à l’heure sur le toit.

Il s’approche des hommes en costume et l’un d’eux, votre cible le prend dans ses bras. C’était donc lui son père ?
Mais ça ne vous intéresse peut-être pas, après tout, l’arrivé de ce gosse vous laisse la voie libre pour tirer. Mais il faut espérer qu’il n’en est pas trop dit sur votre compte.

Vu que vous vous êtes caché, vous ne pouvez pas savoir si son père à cru son fils, ou s’il a cédé à son caprice de voir à travers votre soi-disant télescope.

Alors que faire ? Regarde t’il par la fenêtre de son bureau pour voir une trace des dires de son fils ? A t’il fait envoyer des hommes sur le toit de l’hôtel soupçonnant quelque chose ? Si c’est le cas, vous devrez sûrement bientôt entendre des bruits venant l’escalier qui monte au toit.
Mais s’il n’a pas voulut croire son fils et s’il n’avait envoyé personne pour vérifier ? Que ferez-vous ?

C’est à vous de faire votre choix, votre destin est votre.

[Es-ce qu‘un jour tu apprendras à faire des messages de plus de cinq lignes, car ce n‘est vraiment pas agréable, ni motivant de te répondre. J’ai l’impression que tu régresses, niveau longueur. Le premier était bien, mais tu semble diminuer de plus en plus tes postes.
Je ne vais pas supprimer ton message cette fois-ci, malgré que ce ne soit pas l‘envie qui m‘en manque. Mais essaye de faire un effort.]

Au bout d’un moment, la porte essaya de s’ouvrit, mais manque de chance pour la personne qui était de l’autre côté, vous l’aviez fermé. Alors, on frappa, comme on frappe à la porte d’une maison. Peu après, une petite voix s’éleva de derrière la porte, une voix qui n’était autre que celle du garnement du début.

" Euh... Monsieur, vous êtes toujours là... "

Il paraissait gêner et hésitant sur les mots qu’il devait employer pour vous parler.

" Mon père m’a dit de venir m’excuser,... Désolé... Désolé de vous avoir embêter pendant votre travail, je ne le referais plus... Promit. "

Il y eut un silence, puis le môme, n’ayant pas de réponse continua à parler.

" Monsieur, vous êtes toujours là ? "

Le petit entendit du bruit, l’homme au télescope était donc toujours de l’autre côté. La porte s’ouvrit sur lui, mais il ne bougea pas. Il était seul face à vous. Et il entreprit de renouveler ses excuses.

" Désolé... De vous avoir dérangé tout à l’heure. Mon père m’a obligé à venir, alors... "

Il semblait tout penaud en disant ça, les yeux baissé sur ses chaussures. Puis redressant la tête et se tournant vers les escaliers, il dit d’une voix plus claire.

" Voilà, je l’ai fait... "

Il revint ensuite vers l’homme et lui adressa un signe de la main, avant de tourner les talons. Il s’apprêtait à partir.

Il hésitait, avait-il réellement le droit de regarder dedans maintenant ? Mais cette hésitation fut de très courte durait. C’est assez normal, il n’attendait que ça, son hésitation, venant juste de ce que son père lui avait fait comprendre plus tôt. Mais pour le moment, ce n’était pas son problème, vu que même l’homme lui proposer. Alors tout joyeux, il accepta.

" C’est vrai, je peux... Je peux vraiment... "

Les yeux pétillant, il prit le viseur que lui tendait Julius. Et tout en regardant dedans, il ajouta.

" C’est bizarre, il avait l’air plus grand tout à l’heure. "

Mais il ne put en profiter plus longtemps, qu’une voix ferme l’appela de l’étage inférieur.

" Charlie, vous avez fini maintenant, non.
Alors descendez, votre père va vous attendre. "

Vu que Julius avait été gentil en lui prêtant le soi-disant télescope, il ne dit rien quand celui-ci le lui reprit des mains et le poussa en direction de la sorti. Il fit demi-tour pour repartir. À la porte, il se retourna une dernière fois avant de dire c’est quelques mots d‘un ton des plus joyeux à l‘adresse de l‘homme.

" À la prochaine, j’espère. "

Puis il partit enfin pour ne plus revenir sur ses pas. Rejoignant, en descendant les marches qui menaient aux étages inférieurs quatre à quatre, la personne qui l’avait appelé pour rejoindre son père. Qui lui, allait quitter l’hôtel de ville d‘ici peu. Son travail étant achevé pour la journée.

[Oups, j‘allais oublier de te répondre. Désolé...]

Le gosse parti, la voie était enfin libre pour accomplir votre travail, vous pouvez reprendre vos positions.
En regardant de nouveau par la lunette à la recherche de votre cible, vous la voyez entrain de se préparer à quitter ses bureaux. C’est le moment ou jamais pour vous de l’avoir.

A moins que vous préfériez attendre qu’il sorte dehors pour l’avoir sur le trottoir. Mais c’est vous qui prenez cette décision, après tout c’est vous le tueur, c’est vous qui savez comment agir dans cette situation.

Laquelle de ces deux possibilités, vous parez la plus faisable, et laquelle des deux allers vous exécuter ?

Le bureau où il est seul pour l’instant, ou la rue là où il descend pour retrouver son fils et rentrer probablement chez lui...

Quand il se mit en position, il vit l'homme en train de aprtir, dos a lui. Il savait for bien que si il tirait dans le dos, on repèrerais sa position. alors il décida de le laisser filer, voir si une meilleur opportunité s'offrirait a lui

*Et puis de toute façon, on doit savoir qu'il est en mauvaise posture...*

Puis en réfléchissant a une solution, il se dit

*Dans mon métier, c'est vit par le flingue, ou meur par la balle... Donc pointe ton petit museau bien frais et meme si il y a ton fils, ta femme ou ta maitresse ou je ne sais quoi, je fais un carton*

[Jme suis un peu bafouillé je crois]

Vous n’avez donc pas choisi de vous en prendre à lui dans son bureau, mais d’attendre qu’une autre opportunité s’offre à vous...

Il sort de son bureau, vous le faisant perdre de vu pendant quelque instant. Au bout d’un temps, vous voyait une voiture sortir de l’angle d’une rue pas loin. Elle s’arrête juste en face de l’hôtel de ville, sûrement sa voiture.

C’est à ce moment que l’homme sort. A peine sortie, il est rejoint par son fils qui lui saute dans les bras et une femme d‘âge moyen, sûrement celle dont vous avez entendu la voix quant le petit était venu s’excuser.

C’est dorénavant à vous de jouer, comment aller vous procéder ?