[Les rues et ruelles] La routine

La vie suivait son déroulement habituel...

Il faisait plutôt bon pour une journée d'hiver ; quelques rayons de soleils venaient taper sur la carrosserie des voitures qui passaient et repassaient devant les nombreuses vitrines étincelantes des nombreux petits commerces de la ville. Des passants marchaient, se croisaient, se saluaient, discutaient, et vaguaient à leurs occupations quotidiennes.
Une journée tout à fait normale en somme.

Normale ? Peut-être pas pour tout le monde...

La grosse berline noire apparu à l'ange d'une rue très fréquentée. Elle se gara gracieusement devant un simple et minable petit commerce nommé " Boucherie Jimmy ".

La portière de la Cadillac s'ouvrit lentement. Un homme grand, d'une trentaine d'année et bien vêtu en sortit. Il s'agissait de Thomas.

Machinalement, il regarda autour de lui. Quelques personnes s'inclinèrent en le voyant, et il rendit le salut à chacun d'entre eux.
Puis il s'avança du fameux commerce et regarda son enseigne délabrée. Thomas soupira et rentra dans la boutique.

" Hey ! Qu'est-ce que tu fais ici, Tommy ? "

Un homme, d'une cinquantaine d'année et grassouillet, vint vers lui les bras grands ouverts. Thomas ne lui accorda qu'un simple et bref regard et lui fit dos.

" Ne commence pas avec ça. " fit Thomas, d'une voix grave. " Ton commerce est vraiment pourri. La Famille ne peut pas tolérer ça ! Tu salis l'emblème des Tiwolds ! "

" Hey ! Pas la peine de prendre tes grands airs et de me bassiner avec ton discour ! Tu crois vraiment que j'ai les fonds nécessaires à la réparation de tout ça ? Vous me prélevez déjà une somme considérable pour votre foutue protection, alors inutile de te la ramener en pensant que je vais me plier à tes quatre volontés ! "

Thomas se retourna. Son visage aborda un air neutre et posé. Cependant, il ne quittait pas du regard le commerçant qui fronça les sourcils et commença à s'agiter :

" T'as pas compris le message ?! Dehors ! Fous le camp ! Dégage de ma boutique ! DEGAGE !!! "

Thomas sortit alors un paquet de cigarette de sa poche. Aussi calme et posé que précédemment, il porta l'une des occupantes du paquet à sa bouche, et l'alluma avec son briquet argenté.

Il aspira quelques bouffées, sans quitté l'homme du regard, puis posa sa cigarette sur le comptoir et s'approcha du commerçant.

" T'es sourd ou quoi ? Deh... "

En un instant, l'homme se retrouva la tête encastrée dans la vitrine ou était exposé ses plus beaux morceaux de viande.

" Tu es vraiment frustrant Jimmy... Pourquoi ne fais-tu donc jamais ce que l'on te dit sans protester ? nan, franchement, tu te compliques la vie pour rien... Tu ne crois pas ? "

Le commerçant n'était pas mort, mais il était inconscient, et par conséquent, incapable de répondre.

" Oups... J'y suis peut-être allé trop fort ? "

Thomas s'apprêtait à cogner davantage le pauvre, dans l'espoir de lui faire reprendre ses esprits, mais ils furent interrompus par l'arrivé d'une personne dans le magasin.

Un client ? peut-être, peut-être pas...

Aussi stupéfait que la cliente qui venait de faire son entrée, Thomas la regarda d'un oeil menaçant et lâcha le col du pauvre homme dont la tête se cogna violemment sur le sol.
Il reprit le mégot à moitié consumé et le porta à ses lèvres avant de mettre ses mains dans les poches de sont pantalons et de lancer ces mots :

" C'est fermé ! Revenez un autre jour ! "

Sur ce, il retourna auprès du pauvre boucher, prit un mouchoir en tissu dans l'une des poches de l'homme et s'essuya les mains, car elles étaient tachées d'une important couche de sang.

Il ne faisait désormais même plus attention à la cliente. Thomas pensait que devant toute cette violence, elle se serait mise à courir aussi vite qu'elle le pouvait.

Il termina sa cigarette et la lança négligemment dans un coin du magasin et s'apprêta à s'attaquer à la caisse enregistreuse lorsqu'il s'aperçut enfin que la jeune femme n'avait pas bougé, et qu'elle le regardait aussi fixement que précédemment.

" Qu'est-ce qu'il y a ? Vous aimez regarder les gens se faire cogner ou quoi ? Foutez le camp d'ici ! " lança-t-il, la rage présente sur son visage.

Après quoi il sortit son revolver et frappa aussi fort qu'il put sur le dessus de la caisse enregistreuse qui céda sous le choc et s'ouvrit violemment. Quelques billets, mais pas de quoi s'emballer.

Thomas se tourna alors vers l'homme qui commençait à reprendre connaissance, et lui décrocha un sublime coup de pied dans la mâchoire. La pauvre homme cracha du sang et des larmes de douleur se mirent à couler de ses yeux.

" Peut-être que tu avais raison. Peut-être que tu n'as pas les moyens pour réparer ce bordel. Après tout, il est possible que je me trompe de temps en temps. "

Son visage affichait un rictus purement malsain. Il aimait se comporter aussi violemment, et plus on le voyait, plus il trouvait la situation excitante.
Bien entendu, Thomas n'était pas le genre de personne à craindre les forces de l'ordre, et encore moins à avoir peur de la prison.

Pour la deuxième fois, il se rendit compte que la jeune femme n'avait toujours pas quitté les lieux, et il commençait à perdre patience vis-à-vis de cette dernière.
Il s'approcha d'elle à grand pas, retroussa les manches de son costume noir, et la menaça du regard :

" Et alors quoi ? On veut se faire cogner comme le gentil commerçant là-bas ? " dit-il en montrant le vieil homme qui pataugeait dans son propre sang.

( Je sens qu'il va bientôt y avoir un peu d'action ! )

Thomas ne pensait absolument pas à l'énorme bourbe qu'il venait de commettre. Il avait prit la liberté de se déplacer lui-même pour régler cette petite affaire de commerce, et s'exposait ainsi à de gros risques vis-à-vis de sa famille et de la police.

* Si seulement cette femme n'était pas venue... Je sens que les choses vont se compliquer... *

Effectivement, les choses allaient bientôt se corser. La police allait bientôt débarquer, mais Thomas ignorait totalement que la cliente était déjà allée signaler le raquette du commerce.

Entre temps, Thomas avait eu le temps de vider la caisse enregistreuse et de remplir ses poches avec les quelques billets de banque qui traînaient à l'intérieur.
Même s'il n'avait pas peur de la police ( il avait certains arguments pour ranger les pauvres fonctionnaires de son côté ), il fallait avouer qu'il craignait les représailles qu'il pouvait subir avec les Tiwolds vis-à-vis de sa provocation envers les policiers.

Pendant ce temps, Jimmy, le pauvre boucher, marinait toujours dans sa flaque de sang. Son visage ne ressemblait plus qu'à un vulgaire quartier de viande saignante, et il ne semblait plus capable de ses remettre debout tant les coups qu'il avait reçus avaient été violents.
Il bafouilla quelque chose avait de perdre à nouveau connaissance :

" Tu... Je... Je te jure que... Je te jure que tu ne t'en tireras pas comme ça ! Toi... Toi et la famille... Je vous emmerde tous ! "

Un effroyable rictus vint orner les lèvres de Thomas. Il s'approcha de Jimmy, mains dans les poches de son pantalon, et se pencha vers lui avant de placer ses mots :

" N'oublie pas que j'ai le pouvoir de faire en sorte qu'il n'y ait pas de prochaine fois pour toi. " fit-il en tapotant sa poitrine, désignant ainsi l'étui dans lequel se trouvait son précieux Luger.

Après quoi, il accorda un dernier coup de poing dans le visage du pauvre homme. Le sang gicla une dernière fois, tachant ainsi la sublime chemise blanche de Thomas.

" Encore une chemise de gâchée... Décidément... " se dit-il en soupirant.

Il ajusta tant bien que mal ce qui restait de son costume, et se mit en marche vers sa voiture. Il ouvrit la porte principale et chercha les clefs de sa superbe berline presque neuve dans la poche intérieure de sa veste, révélant ainsi son arme gracieusement attachée au niveau de son aisselle.

C'est alors qu'une voiture braqua au coin de la ruelle, et s'arrêta juste devant lui.
L'inscription "protéger et servir" ne laissa plus aucun doute à Thomas : la police était là pour lui.

C'était effectivement une voiture de police, avec comme conductrice Sara Grant ainsi que Matou comme passagère. La jeune femme n'avais pas eu le temps d'aller la porter à l'endroit désiré, mais de toute façon il lui fallait toujours un co-équipier, sauf que la policière n'avait pas vraiment eue le temps non plus pour en avertir ses supérieurs. En mauvaise conductrice, Sara conduisait très vite, et parfois roulait sur le trottoir, ce qui effrayait les gens. Finalement, Sara arrêta la voiture juste en face de la boucherie et en sortit, revolver à la main. La jeune femme se posa derrière l'automobile, faisant signe à Matu de se cacher à ses côtés au cas ou le voleur tenterait de la blesser. Elle pointa son fusil vers le méchant.

"MAINS EN L'AIR ET NE FAÎTES PAS DE GESTES BRUSQUES!"

La jeune femme resta dans cette position en attendant que l'homme fasse ce qu'elle lui avait dit.

Matou ne se sentait pas très bien après le voyage mouvementé en voiture et elle était encore plus pâle que d'habitude. Une fois sortie de la voiture, ce fut d'un pas chancelant qu'elle rejoignit la policière derrière la voiture.
Elle resta le plus près possible de Sara. Le ton dur de sa voix la rassura, mais à vrai dire, Matou commençait à avoir peur...

*Pourvu que tout se passe bien! Pourvu que tout se passe bien!* pensait-elle de toutes ses forces en fermant les yeux.

Sans accorder une réelle importance à cette arrivée plutôt mouvementée, Tommy jeta un bref regard derrière lui et put reconnaître la cliente qui l'avait surpris au moment où il s'acharnait sur le pauvre boucher. Elle avait été plus rapide que ce qu'il avait espéré, et se retrouvait désormais tenu en joue par une policière qui ne manquait pas de charme.

Naturellement, il n'était pas fou au point de prendre la fuite et de récolter une balle dans le dos, bien qu'il doutait fortement que la jeune femme allait user de son arme.
Il leva alors lentement les bras et se retourna pour faire face aux deux jeunes femmes. Il révéla ainsi sa sublime chemise tachée de sang, et l'étui dans lequel était soigneusement rangé son pistolet.

" Je ne savais pas qu'ils recrutaient chez les lilliputiens dans la police. Tu dois certainement subir de nombreuses remarques de la part de tes... Collègues... " fit-il à l'adresse de Sara, tout en ricanant.

Certes, elle était de petite taille, mais elle possédait un charme particulier qui n'avait absolument pas échappé à Tommy.

Il s'avança de quelques pas, en prenant son air le plus menaçant. Il ne redoutait pas la mort, et fixait l'arme braquée sur lui avec un regard presque moqueur.

* Est-ce le moment pour moi ? J'en doute... Je suis certain que cette jeune femme n'a jamais du se servir une seule fois de son arme contre une véritable personne... *

Tout en fixant l'arme de Sara, il ajouta sur un ton beaucoup plus grave :

" Vous et moi faisons le même métier, sauf que nos méthodes son différentes. Nous imposons les règles qui font que nous sommes respectés... Mais vous... "

Il ne savait pas réellement pourquoi il parlait ainsi. Après tout, il allait séjourner en prison ; ou peut-être pas.

L'option de la fuite était toujours possible, mais vraiment risquée.

Sara était très frustrée après ce que lui avait dit le malfaiteur à propos de sa petite taille, et elle avait une envie folle de tirer immédiatement, juste pour le faire taire. Et de toute façon, il s'approchait dangereusement de la voiture de police et fixait sans arrêt son pistolet, mais ça, Sara ne s'en souciait pas le moins du monde. Ce qu'elle espérait le plus, ce serais de se venger de son impolitesse en appuyant sur la gachette, mais se calma. La jeune femme décida donc de lui donner des ordres pour qu'il soit menaçant, et cette fois-ci, ce serais la Lilliputienne qui rirait de lui, en prison!

"Posez votre arme qui se trouve dans votre manteau immédiatement et ne bougez plus! On reparlera de ma taille un peu plus tard!"

Toujours le revolver en main, Sara se releva un peu plus sur ses pieds, prête à se lever et à rejoindre Thomas n'importe quand pour lui mettre les menottes et l'emmener en prison une bonne fois pour toutes.

*Il va regretter son impolitesse!*

Une femme très bien vêtue arriva derrière sarah. Ses cheveux étaient attachés en chignon, elle avait un diadème. Elle était très bien maquillée. En passant a côté d'elle et la fit trébuchait tombé à terre. Sur les pavés mouillés.

"Comme je suis maladroite. Vous devriez faire attention on ne bloc pas le passage indéfiniment surtout avec une armes. Vous êtes trop jeune pour tuer quelqu'un. Ne soyez pas sotte."

Elle l'aida à se relever et lui glissa à l'oreille:"Si il vous arrive malheur ayelen ne me le pardonnera pas elle tien a son amie. Faite attention a vous. Vous n'êtes pas en mesure de vous battre contre ce jolie jeune homme."

Elle rapprocha Thomas: "excusez la. Elle est encore trop jeune pour penser vous défier."

Justement, l'occasion était beaucoup trop belle. Tommy s'empara de son propre revolver et tint la jeune policière en joue avec une certaine réjouissance.

Naturellement, il n'était pas du genre à ressentir un quelconque besoin de remerciement envers la passante qui avait fait tourner la donne en sa faveur. Il n'empêchait que sans son intervention, il lui aurait été beaucoup plus difficile de se sortir de la situation dans laquelle il s'était fourré.

Sans prêter une véritable attention à la passante, ainsi qu'à la cliente qui l'avait pris sur le fait dans la boutique, il s'approcha de l'arme qui avait glissé tout en gardant la jeune policière en joue.
D'un simple coup de pied, il dégagea l'arme hors de portée de quiconque se trouvant sur les lieux.

Il recula de quelques pas tandis que le canon de son Luger passait en revue toutes les participantes à cette scène plus qu'étrange.

" Hin ! On dirait bien que mon heure n'est pas encore venue. De toute façon, je doute sincèrement que vous m'auriez tiré dessus. " dit-il avec un regard et un air sombre.

Il ne comptait pas s'attarder davantage dans cette situation qui pouvait encore tourner à son désavantage.
Tommy ne laissait pas paraître son stress, cependant, la lueur qui enflammait ses yeux ne laissait aucun doute quant à sa détermination à tirer sur la première personne qui tenterait de s'approcher de lui.

Sara, devenue innoffensive sans sa seule arme, ne savais plus quoi faire. Elle était beaucoup trop dans la lune pour écouter les conseils de ses coéquipiers ou encore les ordres du chef. À cause de ses bêtises, personne n'était au courant de ce qui se passait et aucun policier en vue pour la sauver de ce pétrin.

*Zut! J'aurais dû avertir un supérieur ou ammener un coéquipier avec moi! que je suis bête! Ah oui, c'est vrai! J'ai quelqu'un! La fille avec un surnom de chat! J'espère qu'elle a une arme...*

La jeune femme se tourna quelques secondes vers la jeune chanteuse qui avait fermée les yeux, trop lâche pour affronter la situation.

*Ça y est, c'est fini. Je ne verrais plus Clara, pauvre Clara, elle sera orpheline dorénavant.*

Maintenant, la jeune policière se tourna vers le vilain et le regarda dans les yeux. On pouvais voir dans les yeux bleus de Sara de la tristesse et de la honte de finir ainsi, devant plusieurs témoins qui étaient soit terrifiés, soit fascinés et attendant la suite.

"Avant que tu en finisse avec moi, je tiens à faire une dernière prière."

Sara n'avait jamais été croyante, mais au moins elle pourrais vivre quelques secondes de plus. Donc, la jeune femme se mit en position de prière, ferma les yeux et pria une personne en qui elle n'avait jamais crue.

*Seigneur, je sais que c'est ma première prière, mais je tiens absolument à rejoindre les cieux. Faîtes que ma fille soit en sécurité, avec des parents attentifs et généreux, pour qu'elle ne soit jamais triste. Je voudrais aussi me faire pardonner de toutes les erreurs que j'ai faites, tioutes les bêtises que j'ai commise et tous les crimes que je n'ai pas arrêté, comme celui-ci.*

Sara fît le signe de croix à la fin de sa prière et regarda le criminel droit dans les yeux, prête à en finir tout de suite. Tant pis s'il la tue, maintenant elle est certaine d'aller au ciel.

Thomas était prêt à presser sur la détente, mais au moment ou il s'apprêtait à le faire, Sara formula une dernière requête que Thomas trouva très amusante.
Elle pria devant lui, devant les deux autres femmes, devant tous les témoins qui commençaient à s'enfuir de peur de croiser la trajectoire d'une balle perdue.

Pendant un bref instant, le regard de Thomas plongea dans celui de Sara. Sans vraiment comprendre pourquoi, il s'aperçut que les pensées de la jeunes policières devaient être tournées vers sa famille.

Le sourire de Thomas refit son apparition. Une sorte de lueur envahissait ses yeux verts alors qu'il s'adressa à Sara :

" J'aime tuer. Mais seulement lorsque je possède une raison valable pour le faire. En l'occurrence, tu ne m'intéresses pas. "

Deux coups de feu retentirent dans la ruelle. Un mince filet de fumée s'échappa du canon du revolver de Thomas. Les deux pneus de la voiture de police qui se trouvaient à sa portée éclatèrent sur le coup.

" Je suis désolé, mais je dois prendre certaines précautions pour m'assurer que tu ne me suivras pas. "

Tommy longea lentement le côté de sa propre voiture et ouvrit la porte du côté conducteur. Il gardait toujours les trois jeunes femmes en joue, alors qu'il pénétrait et s'installait dans la berline et mit le contact.

Il s'apprêta à démarrer, mais avant cela, il ajouta :

" Nous faisons exactement le même métier ! Nous faisons respecter l'ordre, sauf que nous ne sommes pas du même côté de la barrière ! La prochaine fois que tu me verras, je serais à toi. En attendant, pense à vivre ! "

Sur ces dernières paroles, le pot d'échappement cracha toute la fumée qu'il lui était possible de cracher, et la berline s'engouffra dans les ruelles mal éclairées de la ville de Kanst.

[La suite dans: A la recherche d'un sale rongeur...]

Elle s'approcha de Maru avec un air supérieur. Sa démarche était sur sans faille. Son regarde pouvait transpercer la pierre. Son calme face à une situation comme celle ci était impressionnant.

"Oui elle met redevable cette homme allait la tuer. Elle est trop inexpérimentée pour ce genre de travail. Quand elle sera devenu plus sur d'elle, alors la elle pour rivaliser avec cet homme. Vous vous êtes sur estimé Sarah, seul les flics ne sont rien surtout dans ces ruelles.
Je suis enchanté on m'a parlé de vous. Vous êtes chanteuse!
Je suis Akami CHO. Je suis danseuse et fille de joie je suis la mieux placé pour connaître les hommes de la mafia. Alors calmez vous, vous êtes en vie."

elle avait un sourir satisfait.

*Vraiment trop naive ces fille croire pouvoir mettre en échec un homme comme lui. cela relève de l'utopie. elle sont marrante*

Sara retint sa respiration quelques instants en entendant les coups de feu. Mais elle put enfin respirer lorsqu'elle s'aperçut qu'elle n'était pas visée, mais par contre ses pneus de police étaient dégonflés. La femme soupira, étant obligée de remplacer les pneus. Puis elle jeta un dernier regard vers le malfaiteur qui s'enfuyait. La policière prit en note la plaque d'immatriculation de l'homme sur sa main et alla enfin chercher son revolver que personne n'avait le courage de chercher. Sara, extrêmement fatiguée par toute cette action, s'avança lentement vers son auto, ouvrit la portière, entra dans le véhicule et respira à fond. Elle avait extrêmement chaud et elle tremblait encore de peur, puis regarda le fille de joie.

"Mademoiselle... je pourrais bien vous mettre en prison pour avoir aidée l'homme à s'enfuir... mais je suis encore en état de choc... je ne peux rien faire pour le moment... par contre j'ai besoin de votre aide, ce sera votre conséquence pour avoir poussée un membre des forces de l'Ordre. Allez chercher un mécanicien pour qu'il puisse arranger mes pneus."

Puis la jeune femme regarda Matou dans les yeux avant de lui adresser la parole.

"Je suis désolée mademoiselle Saito, mais je ne peux plus aller vous porter à votre travail ou domicile. Vous devrez y aller seule."

Malgré sa fatigue, Sara se leva et s'étira, puis elle mit les clés de la voiture dans sa poche. Elle avait un peu mal à la jambe droite, mais c'était mineur et ça guérira rapidement avec de la glace.

"Excusez-moi les filles, mais je dois aller chez l'imprimeur."

Encore un peu tendue, la policière partit en pleine ville sans regarder les deux autres femmes.

[La suite dans: Nettoyage]

Matou fut un peu prise au dépourvu par le départ soudain de Sara. Alors que cette dernière commençait à s'éloigner, le visage de Matou tiqua, comme si elle venait de se rappeler quelque chose de très important.

Elle courut pour rattraper Sara, ce qui raviva la douleur de ses pieds. Une fois qu'elle eut rejoint la policière, elle enroula son bras autour de ses épaules pour l'arrêter.

Elle lui mit deux papiers dans une poche de son uniforme.

"Pour vous et votre fille." dit-elle en lui faisant un clin d'oeil.

C'était deux invitations pour manger le soir même au café St-James et assisster au concert gratuitement.
Matou avait eu de la peine de voir la petite policière aussi triste et elle espérait que passer un bon moment avec sa fille la réconforterait.

Puis la chanteuse japonaise fit demi-tour et partie en direction de son appartement.
Elle se rappella qu'elle n'avait toujours pas acheté de viande. Elle haussa les épaules. Tant pis, elle mangerait des pattes... [ ]

[La suite dans: Promenade]

mais bien sur. que je vais vous aider. et sachez que quelqu'un comme vous ne peut rien contre moi.

elle partie vexé car personne n'a recnnue son geste.

[EDIT D'AMANDA TIWOLD: C'est quoi ce message tout aussi incompréhensible (il n'y a pas de respect des régles d'écriture), que court. C'est cinq lignes minimum, il va falloir que je le répéte encore combien de fois.]

[La suite dans: Arrivée]